-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

Artesia - I want your liver on a platter
Artesia N. Krömer
Messages : 35
Date d'inscription : 02/02/2021
Groupe : Classe A
Artesia N. Krömer



Artesia - I want your liver on a platter ♦
Mer 3 Fév - 0:58

Artesia N. Krömer

Don't need your sympathy, I am above

Age :
24 ans

Classe :
Classe A

Année :
12 ème année

Spécialité(s) :
Maîtrise Appliquée du Pouvoir - Médecine

Métier :
Doctorante en médecine. Elle assiste les cours des professeurs dans cette branche si nécessaire, elle apprend à donner cours, donne de séances de rattrapages "bénévoles" (à la demande des professeurs) dans les matières suivantes : en Sciences humaines - Chimie et Médecine.

Nationalité :
Autrichienne - Origine exacte floue

Orientation Sexuelle :
Elle se pense bisexuelle - Demi-romantique



Inhibition bioélectrique/Barrière

L'hypersensibilité. Un fardeau qu’il n’a jamais été aisé de porter sur tes frêles épaules, une gêne dans ton utopique paisible existence. Il est cocasse de constater que l’éveil légèrementbrutal de ton Don n’a en rien arrangé cette insupportable et dégoutante contagion affective dont tu es la malheureuse victime.

Indécise Artesia, encore à ce jour, tu es incapable de décider si ce pouvoir est une malédiction ou un cadeau du ciel. Cependant, c’est judicieusement que tu as accepté cette nouvelle part de toi, assimilant promptement cette épée à double tranchant dans ta vie, tu as fait de ton aptitude ta meilleure amie, mais aussi ta pire ennemie.

Cette électricité qui circule sous ton épiderme, ce réseau qu’il t’est donné de manier, il t’isole et te protège. Sans même que n’aies besoin d’y songer, cette barrière inhibe une part de l’influence du monde externe et tu dois bien l'admettre Artesia, grande est la satisfaction d’y être immunisée. Après tout, l’effervescence qui émane de ces ennuyeux êtres, qu’il te faut côtoyer, jours après jours n’est pas toujours très plaisante.  

Unique bouée de sauvetage au milieu d’un océan d’informations, sans ce rempart, il te serait impossible d’échapper aux tempêtes émotionnels dégagées par ceux qui ont l’audace de fouler les mêmes couloirs que toi. En plus d’être dangereuses, ces forces de la nature sont avides. Tu le sais Artesia, elles n’ont qu’un désir : celui de t’engloutir, de te dévorer. Chaque fissure, chaque égratignure dans cette seconde peau est un risque supplémentaire de te perdre. L'espace qui te sépare de la folie est tenu. Dans ton cas, la raison est un équilibre délicat.

Fossé imperceptible, cloison invisible à l’œil nu, ta capacité passive te sépare du reste du monde mais même ce rempart n’est imperméable. Bien que protégée, tu n’es pas insensible. Tu ressens toujours différents stimulus : les odeurs, même les plus nauséabondes, les couleurs les plus vives régalent tes yeux chaque jour.  La musique calme est un délice que tu préfères de loin à la cacophonie des pièces peuplées. Tes papilles gustatives – bien que brûlées plusieurs fois par jours par ta vilaine habitude – sont plus que fonctionnelles.

L’un des dangers qui te guette, au détour de chaque couloirs, à chaque nouveaux pas que tu fais dans la vie est le contact physique imprévu, accidentel. Vecteur d’émotions parasites, de sentiments qui ne t’appartiennent pas, tu ne tolères pas bien ni physiquement, ni psychologiquement qu’un autre être doté d’émotions te touche sans prévenir.

Il va de soi que celui qui ose poser ne serait-ce qu’un bout de phalange sur ta peau, sans ton accord, sera puni par une bien mérité décharge électrique. Plus grande sera la surprise, plus importante sera la puissance électrique dégagée.

Il est important de souligner que dans le cas où ce contact physique est autorisé, la personne avec qui tu échanges ne sentira presque rien de plus que quelques picotements brefs.

Avec le temps et à force de nombreux entrainement éreintants, tu as appris à user de cette inhibition passive en tant que défense active. Tu peux désormais décupler le champ électrique qui t’entoure en permanence, interférant de cette façon avec les capacités d’autrui. Inatteignable durant un laps de temps qui variera entre 5 à 10 min, tu préféreras ne pas user de cette technique pour répliquer aux attaques physiques, sauf tu y es contrainte, bien entendu. Ton direct du gauche est une riposte que tu affectionnes tout particulièrement pour rendre chaque bleu infligé.

Toute utilisation active trop intense de ton pouvoir te causera d’affreuses migraines qu’il sera compliqué de soigner par voie médicamenteuse, d’autant plus qu’une utilisation prolongée de cette défense, fera décroitre ta capacité à raisonner et à rester consciente. Cependant, ce n’est pas encore la pire répercussions que ton Don puisse te causer.

Une des bottes secrètes que tu n’utilises qu’en cas de perte de contrôle ou d’ultime recours est la transmission d’une impulsion électrique dans le corps d’autrui.

Au cours de ton cursus, tu as étudié ( et étudie encore) avec une grande attention le fonctionnement du corps humain. Les êtres vivants possèdent des neurotransmetteurs, ces petites molécules sont les vecteurs des processus biochimiques et un moyen d’instiller un bon nombres d’émotions chez une personne. Celles que tu préfères, que tu as le plus de faciliter à provoquer sont les émotions primaires : la terreur, la rage, l’extase, l’admiration, …

Pour se faire, il te faudra lever partiellement ta barrière afin de parasiter l’autre, d'éveiller son système nerveux à l'aide de ton électricité. Cet exercice ne pourra avoir une durée qui dépasse les 3 mins car il est drainant, très drainant. En plus de l'épuisement physique, un sacrifice te sera demandé en échange de la mise en pratique de cette faculté.  

Les migraines qui résultent de cette pirouette sont les pires à surmonter. Pour rapidement t'en défaire et ne pas rester clouée au lit durant plusieurs jours, tu choisiras souvent d'enfouir, d'oublier le souvenir de cet exploit.

L’amnésie. L’oubli. Voilà l’antidote et la châtiment pour toute proximité physique établie sans la protection de ta barrière. La seule guérison durable et vraiment efficace à toute contagion émotionnelle sera le sacrifice d’une part des souvenirs de cette interaction.

Quelle ironie que d’oublier le visage de ceux que l’on malmène, n’est-il pas, Artesia ?


Physique

Placides hématites, tes iris fixent le ciel étoilée. Silencieuse, la fume âpre effleure, expiration après expiration, tes lèvres fines. Cette nuit encore l'insomnie est ta compagne. Habituée à sa présence, tu accueilles sa douce étreinte comme celle d'une amie.

Tu inhales le gaz toxique une dernière fois avant d’écraser ton mégot contre le rebord en pierre et de l’envoyer rejoindre ses nombreux semblables dans le cendrier de porcelaine. Tes doigts se perdent dans cette chevelure noir de jais, tentant en vain de la dompter. Désordonnées, courtes, tes mèches chatouillent avec peine tes délicates épaules.

Le temps que tu ne passeras à dormir sera intelligemment mis à profit. Expériences, recherche, thèse ou encore simples errances nocturnes, tes occupations solitaires sont diverses et variées.

Sombre cardigan en laine sur tes épaules, tes discrètes courbes sont souvent cachées tes vêtements. Sous le textile, ta peau pâle est marquée de quelques cicatrices qui attestent de ta capacité à encaisser mais surtout de ta détermination à rendre les coups qui sont dirigés à ton égard.

Fredonnant tout bas une comptine pour enfant, tu quittes la chambre du pensionnat. Esquissant un petit rictus, tu parcours les couloirs, toisant et jaugeant du haut de ton 1m82, les quelques couche-tard qui tout comme toi, ne semblent trouver le sommeil.


Mental

Évanescente créature, elle parcourt les couloirs. Ses foulées sont silencieuses, étrangement assurées. Une fois n’est pas coutume, elle n’est pas accompagnée. Solitaire, le nez plongé dans un ouvrage vieillot, ses iris parcourent attentivement les pages du recueil. Concentrée, elle semble assimiler chacune des phrases que son regard effleure.

Voilà qu’un obstacle se dresse. C’est in extrémis que la distraite s’arrête. Le livre se ferme, elle redresse la tête et toise ce groupe bloquant son avancée. Quelques secondes s’écoulent alors que la muette observe le groupuscule bruyant.

Son front se plisse, l’agacement traverse son regard gris. Électrique. Durant un éphémère instant, l’éthérée semble devenir réelle.

Pourtant, pas un soupir ne lui échappe, pas un mot n’est prononcé. Le temps d’un battement de cils, voilà qu’elle s’est à nouveau drapée d’un voile immatériel, se fondant aisément dans l’atmosphère agitée. Lentement, elle s’était détournée. Son regard dirigé vers l’extérieur lumineux. Impassible, elle observait sans voir, écoutant sans entendre. Distante, elle était comme déconnectée.

Aussi brutalement qu’il avait été instauré, cet interlude fut rompu et la jeune femme reprit sa route, s’éloignant vers une direction inconnue. Immobile, tu ne bouges pas. Méditatif, tu restes là et tu te surprends à spéculer à propos des pensées qui pouvaient traverser l’esprit de cette créature presque chimérique.

*****

Phalanges blanchies, le crayon prisonnier de tes doigts se brise. Intérieurement, tu bouillonnes. Tes recherches, gourmandes en temps, n’avançaient pas assez rapidement à ton goût. Impatiente, compétitrice, tu menais depuis des années un combat contre le temps. L’obsession. Elle te dévore. Tu t’agites. Seule âme dans la bibliothèque, tu contiens avec beaucoup de mal ta colère, tu exploses. Ta chaise racle le sol, ton poing rencontre le bois de la table, violemment.

Depuis l’éveil de ton Don ta mémoire était incomplète, altérée. Reprendre le contrôle de tes souvenirs et par extension de ta vie était devenu ta quête égoïste. Tu jettes un regard méprisant à la lettre chiffonnée. Tu n’avais le temps de gérer les besoins affectifs d’un presque inconnu nécessiteux. Prétendu frère, il tentait de renouer le contact, de restaurer votre lien de sang brisé par l’amnésie.

Des bavardages brisent soudainement ton silencieux monologue. Tes iris enflammés foudroient l’origine de la perturbation. Le port altier, tu te redresses, ne lâchant les perturbatrices du regard. Gloussements. Babillages. Elles ne semblent vouloir la boucler. Impérieuse, tu les interpelles.

« Faut-il que j’appelle une nounou pour vous ramener à l’aile des maternelles ? Vu vôtre âge, je vous aurais cru capable de décoder 3 simples mots sur un panneau. Il est triste de constater que c'est loin d'être le cas... »

Un soupir las t’échappe. Lunatique, tu retournes à ta chaise, t’apaisant aussi rapidement que tu t’étais emportée. Les pies semblent caqueter une réponse. Les yeux plissés, un froid sourire aux lèvres, tu leurs accordes quelques secondes d’attention supplémentaires. Flou habituel, tu ne reconnais pas leurs traits. Inutile de perdre plus de temps, tu adresses aux indignes, un silencieux mépris.

*****

Une jeune femme étrange aux yeux de certains, une présence discrète pour beaucoup, une tempête violente, imprévisible pour une poignée d’autres, bien que tu ne cherches pas particulièrement l’interaction sociale, tu ne repousseras pas les audacieux qui souhaitent réduire ou tenter de briser cette distance invisible que passivement tu maintiens.

Flegmatique la majorité du temps, perdue dans ta propre bulle, tu préfères écouter les autres parler. Oscillant entre chaos et platitude, tu es consciente de ne pas raisonner comme tout le monde. Morale qui t'est propre, tes interdictions, tes règles ainsi que tes préférences ne sont pas toujours en concordance avec celles des autres. C’est pourquoi, il n'est pas rare que les discussions éveillent dans ton regard une lueur d’incompréhension et tout en restant silencieuse, tu laisseras s’installer sur tes lèvres, un charmant sourire désolé.


Histoire

La mâchoire serrée, tes muscles sont tendus. Galvanisée par l’excitation, tu trembles. Tout ton être est enflammé. Tu n’arrives à te contrôler. Sournoises sirènes, tu cèdes brutalement à la mélopée des émotions de l’étranger. Sans songer aux conséquences, à corps perdu, tu t’y engouffres. Altéré crépitement sur ta peau, la barrière protectrice s’efface et un craquement sourd résonne, rebondissant sur les murs crasseux de l’allée, il brise le silence de la nuit. Plus rapide, tu avais porté le premier coup, créé le premier contact.

Fessier au sol, ton agresseur gémit. Tu dévoiles alors tes canines luisantes. Faisant un pas, puis un autre, tu te penches vers la dégoutante créature, posant ta paume sur son visage. La chaleur du liquide poisseux t’écœure. Irrité. Il est agacé. Tu souris. Féroce, tu retournes ta peur contre lui. Tu forces le courant à sillonner son corps, à exciter la moindre synapses de son système nerveux.

« Alors, toujours partant pour s’amuser ? » La peur, ce poison, tu la perçoit. Elle l’envahit. Proche, tu sens son souffle irrégulier. Tes iris glacials sont plongés dans les siens. « On peut continuer comme ça toute la nuit n'était-ce pas ce que tu souhaitais ? Un os brisé de plus ou de moins, nous ne sommes plus à ça près, pas vrai ? » Tu instilles l’effroi qu’il avait éveillé en toi. Cette frayeur, tu la lui rendais. Délicieuse terreur, tu te délectais de voir, dans ses yeux, les émotions se succéder, l’une après l’autre. Tu étais résolue à payer le prix de cette satisfaction.

Repoussant le parasite, soudainement tu recules. Une vibration dans ta poche arrière t’avait ramenée à la réalité. Horripilée, tu laisses s’échapper un claquement de langue suivit d’un long soupir. Sans un mot, ton pied se décolle du sol et termine de réarranger le cartilage nasale de ton agresseur.

Les secondes défilent et un familier supplice te lacère le cerveau. Spasmes dans l’estomac, tu luttes contre l’inconfort. Pas après pas, l’endolorissement se généralise, s’intensifie. À chaque nouvelle foulée, le souvenir du visage terrifié s’efface de ta mémoire. Pas assez vite. Ta paume appuyée contre le mur râpeux, tu halètes. Il te fallait oublier. Ta barrière, cette seconde peau essentielle se restaure, doucement. Isolée, renfermée, tu échappais enfin à ses émotions échangées. La bruine humide caresse ton visage échauffé. Telle une salvation, tu accueilles son étreinte, la laissant te frigorifier jusqu’à l’os. Flou réminiscence, le visage du tabassé n’était qu’une personne de plus que tu avais effacée. Apaisée, tu te redresses. Douce mélodie fredonnée, tu rentres calmement à l’Académie.  

*****

« Art’ ! Il faut que tu viennes avec moi ! » Tes paumes enserrent ton crâne. Les yeux fermés, tu arrives à peine à respirer. « S’il-te-plaît petite soeur, je dois absolument me rachet… » Genoux au sol, ton corps entier tremble. « idiot, si tu sais qu’elle est folle à liée pourquoi tu passes ton temps à la provoquer et mâter le fessier de chaque ....» La foule. Les gens. Tu les sens. Ils sont là. Autour de toi.« … de vraies capacités, un vrai don… » Tu ne comprends pourquoi tout semble décuplé. « Si tu as trop d'argent, investit-le dans mon compte bancaire, Don Juan... »
Stop. Tu veux que ça s’arrête. Immédiatement. Cette brûlure. L’angoisse. La pitié. Le dégoût. « …je prendrais votre désarroi… » Tes lèvres se descellent et telle une Banshee, tu hurles. Tu hurles à t’en déchirer les cordes vocales. Tu t’époumones. Tu supplies. Une décharge traverse ton corps entier et tout cesse. Le souvenir de ton lien de sang s’efface. Cette voix familière, ce visage souriant, le souvenir de ton lien de sang éclate. Morceaux par morceaux, il part en fumée, laissant le calme et la béatitude t’envahir. Imperméable. Libérée. Les joues humides de larmes, tu t’effondres.


***


Mèches collées contre ton front, la sueur perle sur tes tempes. Péniblement, tes yeux s’ouvrent et tu te redresses. Pièce aseptisée, la lumière est étouffée, bloquée par d’épais rideaux. Pourtant, cette atmosphère est étrangement sereine. Tes pieds nus rencontrent le sol et tu frisonnes sans avoir réellement froid. Tu te relèves, chassant d’un battement de paupières les étoiles qui dansent devant tes yeux.

Quelque chose te retient. Ton regard se baisse vers l’aiguille ancrée sous ta peau. Sans réfléchir, tu l’en extraits. Imperturbable, sans savoir pourquoi tu te laisses guider vers la porte. Des murmures se font entendre, il te semble reconnaitre ces voix. Soudaine douleur, tu grimaces mais tourne la poignée.  

Yeux plissés, tu fais quelques pas dans ce couloir agité. Confuse, tu observes ton environnement, te demandant ce que tu faisais là. Bruyants piaillement, des irritants individus aux contours flous discutaient.

« ARTESIA ! Que fais-tu debout ? »

Une masse floue se détacha du groupe afin de te serrer contre elle, continuant à déverser des paroles dont le sens t’échappait. Capturée. Tu es pétrifiée. Prisonnière. Tu paniques.

« LACHE-MOI ! »

Peau contre peau, une décharge violente arrache un cri de douleur à la femme. Tu sens sa peine, son impuissance. Ces émotions qui n’étaient tiennes inondent soudainement ton cœur. Inconnus. Étrangers. Ils s’avancent vers toi. Faible tu tentes de fuir. Tu ne peux les laisser t’emprisonner à nouveau. Instinctivement tu sais qu’il ne faut surtout pas qu’ils te touchent. Peine perdue, tu es à nouveau immobilisée. Colère. Incompréhension. La folie semble t’envahir. Stridents hurlements, des étincelles crépitent sur ta peau. Ton Don t’enveloppe. Tel un cocon, il te protège, t'isole d’eux. Apathique, tu murmures quelques paroles à l’attention de l’homme qui te détient.  

« Qui êtes-vous ? »

Des sanglots résonnent dans le couloir, les murmures se muent en cacophonie. Tu y restes hermétique. Les pleurs s’amplifient, les secondes passent. Répugnante proximité, tu te mets à ricaner. Avant de grogner et d’asséner un coup de boule à l’individu.

« JE T’AI DEMANDÉ QUI TU ÉTAIS ESPÈCE DE FILS DE P*** »



****

« Les troubles de votre fille sont une conséquence de son amnésie, nous vous avons répété qu’il n’y avait rien d’autre à faire… » Palabres redondantes, assise sur la chaise de ce cabinet, tu les écoutes à peine. Ton regard est fixé sur cette lettre que tu tiens entre les mains. « Le scanner ne montre rien d’anor… » Tu la plies une première fois « …. Laissez-lui le temps, elle n'a que 13 ans...» Puis une seconde. «… d’ici quelques mois… »

Ennuyeux parasites, ils t’empêchent de penser. Sans leur adresser un regard, tu te mets debout, évitant habilement la main qui tente de te rattraper. D'un ton mauvais, tu éructes :

« Sale catin, ne pose pas tes mains dégoutantes sur moi… »

Un petit avion en papier se forme entre tes mains alors que tu quittes la pièce. Ces inconnus, ces menteurs, tu refusais de rester plus longtemps à leurs côtés. Ta décision était prise et rien ni personne ne pourrait te retenir.

Tu n’étais pas comme eux. Différente. Telle était la destinée qui t'était désormais imposée.  

DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo : Art' fera très bien l'affaire
Age : 24 ans
Si tu avais un pouvoir IRL, ça serait quoi ? La connaissance infinie
Comment nous as-tu connu ? Partenariat
Tu fais quoi dans la vie ? Je fais genre d'être étudiante.
Et deux heures avant, tu faisais quoi ? Je buvais du café.
Ton animal préféré ? Ornithorynque
Ça te gonfle les questions ? Je ne suis pas un ballon, on ne me gonfle pas.

MOT DE PASSE :
Revenir en haut Aller en bas
Karna S. Crowley
Messages : 89
Date d'inscription : 13/01/2021
Age : 24
Groupe : Classe A
Karna S. Crowley



Artesia - I want your liver on a platter ♦
Jeu 4 Fév - 9:57
Bienvenue Artesia - I want your liver on a platter 1782665584

J'adore ton pouvoir hâte de lire la suite de ta fiche Like a Star @ heaven
Revenir en haut Aller en bas
Artesia N. Krömer
Messages : 35
Date d'inscription : 02/02/2021
Groupe : Classe A
Artesia N. Krömer



Artesia - I want your liver on a platter ♦
Jeu 4 Fév - 23:08
Merci héhéhé

Contente que mon pouvoir te plaise Artesia - I want your liver on a platter 2322760572

Je me permets de signaler que ma fiche est terminée. Je suis juste un peu incertaine quant à la partie "métier", j'ai essayé de détailler un maximum. S'il y a le moindre oupsi, dites moi quoi cœur noir

Revenir en haut Aller en bas
Nate S. Delaney
Idéal : Révolution
Messages : 197
Date d'inscription : 15/01/2021
Age : 22
Groupe : Classe D
Nate S. Delaney



Artesia - I want your liver on a platter ♦
Ven 5 Fév - 22:58
JE T'AIME TROP PTN ♥ J'ADORE TON POUVOIR ET T'ES TROP ORIGINALE OMFG JE VEUX DES LIENS ♥

Bienvenue à toi et jtm regarde en dessous  Artesia - I want your liver on a platter 1782665584  Artesia - I want your liver on a platter 1782665584  Artesia - I want your liver on a platter 1782665584  Artesia - I want your liver on a platter 1782665584

Validé !

Voilà ta couleur

Ça y est, tu es validé(e) ! Bravo à toi, nous te souhaitons la bienvenue parmi nous. cœur noir

Maintenant, tu peux aller recenser ton pouvoir, ton avatar, ta ou tes spécialité(s) et enfin ta chambre !

Ensuite, tu peux poster ta fiche de relations dans la partie concernée, ou alors jeter un œil à notre guide du débutant si tu en as besoin.

Le Super Staff  cœur noir
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Artesia - I want your liver on a platter ♦
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1