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Avery N. Jones
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Avery N. Jones



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Sam 13 Mar - 1:18

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Upper Tower — Littérature

feat lee

Vendredi 12 mars — 16h05

Ok, ça va pas être possible. La prof parle, reparle et rereparle. Elle s’arrête plus. Toi tu souffles, plus ou moins silencieusement, tu gribouilles des cercles sur ton bloc-note - parce que tu n’aimes pas les cahiers, c’est lourd, le bloc-note sert à retirer les feuilles que tu veux jeter après les cours et ça te donne un air sérieux. Shakespeare, Rousseau, un autre japonais dont t’as complètement oublié le nom, elle essaie de vous inculquer des choses plus soporifiques les unes que les autres. Et toi, t’es là, les yeux dans le vide, à toujours tapoter ton OnePlus 8 Pro pour regarder l’heure et changer la musique que t’écoutes en douce à l’aide de ton airpod caché sous quelques mèches de tes longs cheveux roux.

Tu les as remonté en semi-chignon sur le haut de ta tête ce matin, tu avais vraiment trop la flemme de te coiffer. Pas besoin de te faire belle, surtout pas pour la ribambelle d’idiots qui suivent le même cours que toi. Les troncs communs, c’est vraiment lourd. Tu as hâte d’arriver en enseignement spécialisé où tu pourras enfin choisir une seconde spécialité, et là, t’auras un cours de plus à suivre avec amour et un de plus à sécher tranquillement. Tu rêvasses, oubliant complètement les dires de madame J’aiToutLuMoi. Quel bonheur d’avoir craqué pour ces airpods, les fils de tes anciens écouteurs te menaient la vie dure. Tu écoutes Moonlight, de Gaullin, en boucle; ta playlist Ptn y’a trop de trucs ici est incroyable, mais tu commences à en avoir un peu marre. Les musiques s’enchaînent, à tel point que tu n’y fais même plus attention. Celle-ci en revanche te fait te projeter. Elle te donne envie de bouger, d’aller courir, danser, chanter, qu’importe tant que tu pars loin d’ici.

Tu connais Lee depuis ton arrivée ici. Il t’a appris quelques magouilles et quelques bons plans. Un bon pote, voire la personne avec laquelle tu as le plus de complicité dans cette académie - pour le moment. Il a un côté bad boy que tu affectionnes particulièrement - tu as toujours eu un penchant pour ça. Mais son côté plus sombre, accompagné de sa tête de je-m’en-foutiste, le tout entouré du fait qu’il ne soit jamais vraiment sobre, te rebute un peu.

Les paroles du professeur se transforment en un brouhaha insupportable et tu tapotes une énième fois sur ton téléphone : la même heure qu’il y a trente secondes. Impatiente, ça tu l’es. Tu balances ta tête en arrière et l’accompagnes de tes bras dans le but de t’étirer. Madame Littérature t’adresse un :

Oui, Avery ?

Ah mais je m’étirais, c’est tout, réponds-tu en te redressant d’un bond, surprise par cette demande.

Elle venait donc tout juste de te sortir de tes songes. Un retour à la réalité plus que brutal. Mais l’ennui reprend tout aussi vite que celle-ci se remet à faire son cours. Tu lances un regard embarrassé vers Lee, constatant que celui-ci n’est déjà plus dans son état normal et comprend complètement tout de travers; il semble content que tu te tournes vers lui, mais tu n’as pas l’impression qu’il comprend ton « elle me saoule » visuel. Tu détournes le regard et le pointe à nouveau vers ton bloc-note inutile, vide, blanc.

Tu n’espères qu’une chose : qu’elle s’étouffe avec sa propre salive et décide de stopper le cours pour aller voir un médecin, pensant qu’elle a avalé une mouche. Et tu serais la première à le lui faire croire. « Madame, j’ai vu une mouche entrer dans votre bouche… mais elle n’a pas eu le temps d’en sortir. », oui, tu te vois déjà le lui dire. Et là, la prof serait rouge, bleue, puis verte, puis elle hurlerait et sauterait par la fenêt- mais non, là ça va trop loin. Tu souris en coin, perdue dans ton imagination débordante. Tes pensées se transforment si vite en scènes de films hollywoodiens…

Si seulement tu pouvais sortir d’ici, faire autre chose, aller jouer sur ton ordinateur, te faufiler jusqu’à ton lit et juste… Dormir.

T’en peux plus.
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Lee Zhong
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Lun 15 Mar - 20:38

"THERE'S A SAYING IN ENGLAND: WHERE THERE'S SMOKE, THERE'S FIRE"

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16h05.
Tu es où? En classe... Pourquoi es-tu venu déjà? Tu ne sais même pas. Tu as dormis dès que le cours a commencé, tu avais séché une bonne partie de la journée mais tu étais venu avec tes potes. Et tu n'as aucune idée de pourquoi. Ah si, de base tu voulais juste venir parler à Avery et l'inviter à la soirée de ce week-end. Mais au final ta professeur vous a attrapé, vous étiez donc obligé de suivre le cours.

Jude était devant toi, à prendre des notes et suivre le cours, Naïko dormait à côté de toi, Aïko, devant son frère mangeait des chips et jouait sur son portable, planqué par ses livres. Et Aran... A côté de Jude semble comater, écoutant parfois ce que l'horrible voix de la prof disait. Toi ça te fatiguais et de voir Naïko dormir à côté de toi t'as fais dormir un bon moment. Tu avais fumé avant de venir mais ta sieste a amoindrit les effets. Tu veux sortir pour fumer, allant pour réveiller Naïko, prêt à monter un plan pour t'échapper, tu captes le regard d'Avery. En avait-elle marre aussi?

Avery est une nouvelle de cette année, tu rigoles bien avec elle c'est une fille cool. Naïko est trop profondément endormi pour que tu puisses le réveiller. La prof te soule toi et Avery, vous pourrez peut-être en profiter pour partir... Mais comment. Dans ce cours tu ne peux pas juste te lever et partir, elle ne te gère plus en solo et te défonces. Bien que ça ne te fait pas peur, jouer aux agents secrets t'amuses alors c'est parti. Caché par Jude, tu sors ton portable et tu envoies un SMS à Avery.

De: Lee.
A: Avery-cutie

"Sup.
Suis le mouvement et je nous sors de cet Enfer vivant.
Soit une bonne comédienne sinon Booooooh, honte à toi."


Tu ricanes avant de regarder la rousse, rangeant ton portable dans ta poche de pull. Tes yeux sont encore un peu rouge et gonflés. Tu mets en place ton meilleur jeu d'acteur, grelottant. Après tout, il faisait encore frais et ce n'est pas un secret que tu tombes facilement malade à cause de ton sang qui est plus froid que la moyenne. Tu lèves la main, celle-ci tremblant.

- Madame... J'peux aller à l'infirmerie...?

- Lee, ça m'étonnait que tu n'ais pas encore ouvert la bouche de ce cours. Qu'as-tu?

- Ma température chute... Je le sens...

- Woah... Lee... T'as pas réussi à te réchauffer depuis ce matin? Tu étais absent pour cela... Tu dois avoir un problème... Madame... Il est glacé!

Tu regardes Aïko continuant de grelotter, légèrement plus pâle suite à certaines pensées qui te dégoutes.

- Non... Mais ça m'arrive souvent... Il faut que j'ailles à l'infirmerie et qu'une personne contrôlant le feu ou la chaleur vienne avec moi dans ma chambre pour aider mes couvertures chauffantes...

- D'habitude on demande à son colocataire, Adam Weber s'il peut rester avec lui comme il a une température plus élevée mais là il est en cours... Ca va aller bro...? Ca t'arrive de plus en plus...
@Avery
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Avery N. Jones
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Mar 16 Mar - 12:17

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how to skip class

feat lee

Tu jettes un regard pressé à Lee, espérant que cette fois-ci il te repère. Tu l’observes du coin de l’oeil et tu te rends compte qu’il utilise son téléphone. Perspicace, tu comprends qu’il a finalement saisi ce que tu as tenté de lui faire remarquer tout à l’heure. Tu souris discrètement avant de poser ton regard sur ton téléphone. Une notification, avec un nom suivi d’un emoji diable. C’est Lee. Tu le saisis et le déverrouille machinalement, tu t’empresses de lire son texto.


Lee 😈
Sup.

Lee 😈
Suis le mouvement et je nous sors de cet Enfer vivant.

Lee 😈
Soit une bonne comédienne sinon Booooooh, honte à toi.


C’est. Un. Malade. Et ton sauveur. Tu lui réponds brièvement, sans un regard vers lui - afin de ne pas éveiller les soupçons de la prof. Une bonne comédienne ? C’est ton quotidien. Tu sais mentir, car tu as passé plusieurs années à le faire. Tu préfères être honnête à présent, mais tu uses régulièrement de cette particularité pour te sortir de mauvais pas ou faire en sorte que les choses aillent dans ton sens - car tu détestes ne pas obtenir ce que tu veux. Quand tu désires quelque chose, tu l’obtiens d’une manière ou d’une autre. Soit par manipulation, soit par attendrissement, par des mensonges ou par un peu d’honnêteté. Tout dépend de la situation.

Là, Lee vient tout juste de t’offrir ton désir sur un plateau. Tu n’as pas pour habitude de te donner en spectacle en pleine classe pour t’enfuir, mais plutôt de sécher d’emblée - afin d’éviter ce genre de situations. Le brun a littéralement le genre de réactions que tu adores - spontané, timbré et prêt à tout. Un casse-cou qui se fout des lois, des règles et de ce qu’on peut penser de lui. Tu as failli devenir comme lui, mais quelqu’un t’a freiné. Tu te perds peu à peu dans tes pensées - la rêverie n’est jamais bien loin, avec toi. Il te suffit d’une dizaine de secondes pour t’absenter. Ton cerveau ne cesse de penser, se torturer, imaginer des scènes farfelues; tu n’es jamais à court d’imagination. Tu penses à Lee, à ce qu’il est, il te fait rire, il te motive à faire des choses qui techniquement sont mauvaises, mais qui te font beaucoup de bien. Du lâcher prise, une libération; un peu d’adrénaline pour tuer la peur et le chagrin. C’est ce qu’il te fallait. Après avoir passé un an seule, tu as du mal à te faire à la civilisation, mais Lee n’en fait pas partie. Lui, c’est yolo.

Tu te sors de ta rêverie volatile avec une idée en tête. Tu tournes la tête vers lui, l’air étonnée - pour bien débuter la séance de comédie. Il commence à grelotter, tu ne perds pas un instant avant de t’imposer.

Lee, ça va ?

Il lève la main et demande à passer par l’infirmerie. Tu gardes le silence et observe la scène. Personne ne peut réussir à feinter un visage aussi inquiet que le tien à cet instant. Les sourcils froncés et la bouche entrouverte, tu fais alterner ton regard entre Lee et la prof, tu sembles parfaitement concernée par l’état de ton camarade. Du moins, aux yeux de la prof; en vrai, t’as juste envie de hurler de rire et de highfive ton pote. Un membre du gang de Lee prend la parole, tu imagines qu’ils ont dû se concerter au préalable - ou alors, ils sont juste super connectés et c’est incroyable de voir des gens aussi complices. Tu réprimes un sourire, ça devient trop drôle.

… personne contrôlant le feu ou la chaleur vienne avec moi dans ma chambre pour aider mes couvertures chauffantes…

Là, tu réprimes un fou rire. T’as envie de hurler de rire, de t’étouffer, de te rouler par terre; tout le monde sait que, lors d’un fou rire, tu perds toutes tes forces et tu n’as d’autre choix que de tomber au sol, tes abdominaux se contractent tellement que tu en tombes. C’est tellement dur. Mon dieu…

Aïko rajoute une couche, et tu te décides à passer à l’attaque. Paniquée, ou du moins en apparence, tu prends la parole tout en te levant de ta chaise. Tu t’approches de Lee et place délicatement ta douce main sur son front, histoire de prendre sa température. Blague à part, il est vraiment froid… Tu hausses les sourcils par surprise, ce n’est même pas voulu. Tu t’accroupis, sans lâcher son front. Tu plonges tes prunelles noisettes dans ses yeux, tu viens tout juste de gagner le prix de la meilleure actrice.

Tiens.

Tu ne maîtrises pas ton pouvoir, mais s’il y a une chose que tu sais faire, c’est réchauffer tes mains lorsqu’il fait froid. Créer des flammes, la base de ton pouvoir, c’est déjà assez dur comme ça. Mais s’il faut rater, et donc ne créer qu’un peu de chaleur, c’est parfait ! Rater, tu sais faire. Tes ratages fonctionnent comme des radiateurs.  Tu réchauffes ta main, lentement, de plus en plus. S’il faut jouer, autant le faire jusqu’au bout. Puis tu te tournes vers la prof.

Madame, sa température est critique. S’il reste comme ça, il va falloir l’emmener à l’hôpital. Je suis pyrokinésiste, laissez-moi m’occuper de lui. Si je ne l’emmène pas, il finira glacé avant d’arriver à l’infirmerie.

Mais la prof est bornée. Peut-être même qu’elle est la plus bornée de tout le bahut. Elle se rapproche de Lee et place sa main à côté de la tienne, car elle doit vérifier d’elle-même. Il ne suffit pas de vous croire sur paroles. Il lui faut des preuves. Elle grimace, laisse échapper un cri d’étonnement et hoche la tête.

D’accord, vas-y.
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Lee Zhong
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Lun 29 Mar - 17:04

"THERE'S A SAYING IN ENGLAND: WHERE THERE'S SMOKE, THERE'S FIRE"

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La main d'Avery est chaude et tu pourrais la prendre dans la tienne pour rester en contact avec cette source de chaleur. Mais pour le moment, le rideau est levé sur la pièce de théâtre. Tu vois son air surpris, elle n'a pas comprit que tu es naturellement plus froid que les autres suite à ton pouvoir? Ta température corporelle est de 26°C, soit 11°C de moins qu'une personne normale. Forcément que ta peau est plus froide que la sienne qui est plus chaude que la normale, et sa main à tendance à te faire piquer du nez, elle est aussi chaude que tes couvertures... Tu as envie d'aller t'y enrouler maintenant...

La professeure arrive et pose sa main sur ton front. Elle ne doit pas penser que c'est dû à ton pouvoir également que tu es aussi froid. Mais en tout cas, elle t'a donné les mots que tu attendais. Vous pouvez y aller. Naïko qui ne comprend pas tout lève ses yeux bruns vers toi avant de chercher dans sa poche un petit objet que tu attrapes discrètement pour le glisser dans la tienne. C'est ton Juul. Tu attrapes ton sac que Jude t'a fait avant de te lever, aidant Avery à se lever aussi.

- Merci Madame...

- Je te donne le cours ce soir.

- Merci Jude... Au revoir...

Et l'acteur principal tire sa révérence, quittant la salle en restant dans son personnage. Une fois qu'il est hors de vue de cette professeure horriblement ennuyante, il s'étire, mettant son sac sur ses épaules. Mission réussie. Tu retrouves ton sourire, venant poser ta main sur le haut du crâne de ta partenaire de crime.

- On mérite un putain d'oscar... J'suis grave un génie! Allons en ville, j'paye ma tournée.

Tu ris, prenant la direction opposée de l'infirmerie, baillant grandement et sortant de l'établissement, passant par le plus de zone morte des différentes caméra. Tout en marchant, tu sors ton portable, envoyant un message sur ton groupe de pote puis tu attrapes la main de la petite rousse pour la poser sur ta joue, un sourire béat sur tes lèvres après tout, le temps est encore frais pour toi et cela se voit à l'écharpe que tu portes avec toi.

- Tes mains sont si chaudes... Tu as été surprise par ma température quand tu as touché mon front, non? C'était amusant à voir.
@Avery
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Avery N. Jones
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Mar 30 Mar - 14:54

wikihow: how to skip class

mars • l’impact • lee

Toi et ton complice vous dirigez vers la sortie. Une fois le dos tourné au reste de la classe, tu ne peux réprimer un sourire béat satisfait, et tu retiens un fou rire. Une fois à l’extérieur et la porte complètement close, tu te mets à pouffer assez discrètement; il faut que ça sorte, c’était trop drôle. Lee pose sa main sur le haut de ta tête et tu plonges ton regard amusé dans le sien : c’était l’une des scènes les plus drôles de ta vie, et pourtant, ça doit lui paraître peu, à lui. Mais tu es heureuse de l’avoir vécue.

On mérite un putain d'oscar... J'suis grave un génie ! Allons en ville, j'paye ma tournée.

Tu étouffes un rire un peu plus bruyant à l’écoute de sa réplique. Vous alliez boire un verre en ville alors que les autres devaient se farcir une prof soporifique. Quel bonheur !

Graaave, j’te suis ! Franchement bien joué, tu joues bien la comédie ! dis-tu, des étincelles dans le fond de tes prunelles.

Vous marchez en discutant quelque peu et tu le regardes envoyer des messages à ses amis. Tu n’en n’as pas beaucoup, il t’es difficile d’en envoyer à ton tour. Et puis, tu as toujours peur de déranger ou de faire fuir les personnes à qui tu envoies des messages; tu peux être extrêmement collante parfois, par écrit. Tes émotions sont transcrites à travers tes smileys, ta manière d’écrire, et ça, peu de personnes le supportent. Tu es bavarde, il faut le dire. Tu n’aimes pas que l’on ne te réponde pas rapidement, tu as l’impression que l’on te laisse de côté. Comme si on avait mieux à faire que de t’adresser la parole. Un air nostalgique se dégage de ton visage alors que tu l’observes.

Mais il saisit ta main et la pose contre sa joue.

Tes mains sont si chaudes... Tu as été surprise par ma température quand tu as touché mon front, non ? C'était amusant à voir.

Tu rougis très légèrement et retire ta main de son visage, par réflexe. Pourtant de nature très tactile, ton semblant de timidité nécessite un début de confiance en la personne pour se dissiper et t’autoriser à passer du côté tactile. Les rougeurs sont si discrètes que tu n’es même pas sûre qu’il le remarquerait, de toute façon. Tu espères que non.

Un peu, je savais que tu étais très froid mais j’avais oublié que l’écart serait d’autant plus incroyable en chauffant ma main… Et te moque pas de ma tête toi ! lui lances-tu en lui jetant un regard malicieux et amusé.

Tu détournes les yeux avant de les poser sur ton ombre. C’est un réflexe; regarder les gens dans les yeux te rend nerveuse, même si d’habitude c’est avec les filles que tu es la plus anxieuse. Tu as du mal à te faire des amies, tu as un blocage avec ton côté garçon manqué et tu as toujours traîné qu’avec des hommes; mais tu essaies de t’ouvrir davantage. Au fond, tu rêves d’avoir des meilleures amies. Pour une raison inconnue, le regard de Lee t’intimide. Peut-être est-ce son côté badboy prêt à tout pour faire n’importe quoi; le fait que tu admires sa facilité à vivre comme il l’entend te perturbe et, quelque part, peut-être que tu l’envies. Mais tu es là pour apprendre à lui piquer un peu de son attitude, ça va te faire du bien.

Je sais vraiment pas comment tu fais, j’pourrais pas avoir aussi froid tout le temps... Un courant d’air et je me transforme en esquimau. Mais moi j’ai de quoi me réchauffer, pas toi… C’est pas trop chiant pour toi ? Ton écharpe, ça change vraiment quelque chose ? Enfin, t’as super froid là, nan ? lui demandes-tu, intriguée.

Ta curiosité est sans limite, et tu aimes poser des questions à tout le monde. Tu t’intéresses, c’est sincère, tu aimes réellement connaître tous les petits détails qui font que les gens sont ce qu’ils sont. Vous marchez plus ou moins lentement en direction de la gare. Pas question de toucher à ta voiture pour le moment; si vous comptez boire, mieux vaut prendre les transports en commun.

cc


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Lee Zhong
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Lun 19 Avr - 12:32

"THERE'S A SAYING IN ENGLAND: WHERE THERE'S SMOKE, THERE'S FIRE"

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Vous êtes trop trop forts, tu t'impressionnes toi-même et cette boisson sera bien méritée. Tu regardes la rousse à tes côtés et tu vois cette lueur dans son regard. Elle est heureuse et si elle l'est, tu l'es. Tu as l'impression de te revoir quelques années auparavant quand la maman canard vous autorisait à la suivre dans ses bêtises. Cette joie d'avoir réussi, cette liberté... Tout en tapant sur ton téléphone, tu te demandais bien ce qu'elle pouvait ressentir, ce qui lui passait par la tête à cette fille qui semblait ne pas avoir d'amis lorsque tu la rencontrée. Quand tu penses que tu l'avais approchée car Naïko n'osait pas et qu'il ne voulait pas qu'elle soit seule. Tu ne regrettes absolument pas de l'avoir approchée, c'est une fille géniale et c'est rare que tu dises ça.

Lorsqu'elle reprend sa main, tu remarques bien les légères rougeurs après tout, tu es quelqu'un observateur et les changements chez les gens sont des choses que tu regardes souvent. Mais tu ne dis rien, la laissant reprendre sa main avant d'hocher la tête, pouffant un petit rire. Tout en t'allumant une cigarette, tu la regardais du coin d'œil en acquiesçant à toutes ses questions.

- On s'y fait au froid. J'vis avec cette température depuis mes treize ans alors à force je ne le sens plus. J'pense que les premiers temps c'était compliqué mais maintenant... Et si, l'écharpe permet de couper le vent froid pour que mon corps reste à 25-26°C et qu'il ne descende pas en dessous.

Tu marchais jusqu'à la station de train, tendant ta cigarette à la rousse si jamais elle voulait tirer dessus. Tu aperçois le train qui est sur le départ alors, sans prévenir, tu attrapes la main d'Avery et tu te mets à courir pour vous glisser entre les portes qui se fermaient, just in time. Une fois dans le train qui était presque vide puisque la plupart des personnes étaient en cours, tu viens te laisser tomber sur une banquette, t'y allongeant comme si tu étais chez toi.

Tu faisais tout le temps ça avec ta bande de pote, comme le train est souvent vide quand vous le prenez, vous utilisez les barres de maintient comme barre de dance, les banquettes comme lit... Bref, le train est à vous quoi. Là il n'était pas complètement vide et il ne savait pas trop si la rousse n'allait pas être gêné s'ils se mettaient tout les deux à faire les cons dans le wagon, il fera ça au retour au pire hein. Et s'ils sont trop ivre, il appellera Adam pour qu'il vienne les chercher.

- Et toi, t'as tout le temps chaud ou tu dois tout de même te réchauffer? Car Adam il a une température du corps plus élevée naturellement mais je sais pas pour toi comme une personne normale est hot as fuck pour moi~ Il rit avant de se tourner sur le côté pour la regarder après avoir soutenu le regard d'une femme qui était dans la rame et qui semblait les juger. Pas besoin de te limiter ce soir, si on est trop ivre, j'appelle mon super-coloc et il vient nous chercher~
@Avery
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Jeu 22 Avr - 18:29

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mars • l’impact • lee

Tu l’écoutes te répondre avec une attention qui se fait rare chez toi. Tu es toujours trop dissipée, incapable de te concentrer, pour écouter les dires de qui que ce soit, mais cette fois-ci, tu écoutes Lee, car il t’intéresse. Tu as toujours pensé que ces personnes populaires, connues de tous et plutôt désinvoltes, fauteurs de troubles, étaient des gens inaccessibles et plutôt difficiles à cerner ; tu ne les a jamais vraiment vu comme des personnes agréables malgré l’envie de les rejoindre, l’envie de connaître une certaine liberté qui t’a toujours été proscrite. Lee est le parfait exemple de ce que tu pensais incompréhensible, incompatible avec ta façon de fonctionner, de penser, et finalement, c’est tout à fait le contraire. Il est ce qui se rapproche le plus de tes valeurs et de ce que tu souhaites.

Tes joues prennent de nouveau une couleur rosée lorsque celui-ci agrippe ta main pour te faire courir jusqu’au train - tu n’as jamais couru très vite, mais cette fois-ci tu n’avais pas le choix. Tu y arrives enfin, à ses côtés, et complètement essoufflée. Au moins, les rougeurs sur tes joues passeraient inaperçues. Lee s’affale sur l’une des banquettes et toi, tu tatonnes. Tu aimerais t’installer de la même manière mais le regard des autres est une chose que tu as encore du mal à supprimer de ton champ de vision - malgré tous tes discours sur le fait de se libérer d’autrui. « Fais ce que je dis, pas ce que je fais », Avery, c’est un peu toi ça. Tu finis par t’asseoir timidement aux côtés de Lee sur le peu de banquette qu’il restait pour toi ; tu restes très fine, ce n’est pas difficile de te faufiler quelque part. Il te pose une question, chose que tu écoutes tout en balayant du regard les éventuels prédateurs présents dans le wagon, car tu restes toujours aux aguets en ce qui concerne les multiples pervers lâchés dans la nature. Donnant quelques regards assassins en direction de ceux qui te regardent avec un sourire, tu lui réponds ; ceux-ci détournent les yeux et tu restes tranquille.

Ma température monte seulement quand j’utilise mon pouvoir, je suis une vraie frileuse et je passe mon temps à mater Netflix dans ma couette. Du coup, si j’utilise trop mes flammes, je peux finir en hyperthermie… Mais je ne brûle pas. Le feu ne me fait rien, à part la chaleur, du coup, tu ris tout en plongeant tes iris dans ceux de Lee, légèrement intimidée par celui-ci de nouveau. J’suis un peu comme Daenerys.

Tu te surprends à être d’autant plus timide face au regard perçant, les yeux émeraudes de celui couché près de toi ; tu rougis très légèrement une fois de plus et tu t’énerves intérieurement pour cela. Tu ne supportes pas paraître intimidée, faible ; tu rebondis directement quand il t’assure que tu peux te laisser aller ce soir.

De toute façon même si j’essaie de me limiter j’y arriverai pas, si y’a de la bonne musique en plus de bons cocktails je vais finir par danser partout... réponds-tu dans un sourire passionné - tu aimes faire la fête.

L’idée de te rapprocher de ton lieu de fête aux côtés de Lee t’emplit de joie et tu te mets à sourire seule, perdue dans tes songes une fois de plus, ce côté rêveur te fait perdre le fil de votre conversation et tu te reprends quelques secondes plus tard. Tu fais ce qu’on appelle de la rêverie compulsive, bien que tu ne fais pas partie de ceux qui passent soixante pourcents de leur temps dans leurs rêves éveillés, c’est-à-dire que tu ne cesses de t’imaginer divers scénarios qui te permettent d’échapper à la réalité et au présent ; tu crées ton propre monde dans ta tête et tu y passes la majeure partie de ton temps. Car la vie en elle-même et le monde qui la contient ne te suffit pas, elle n’est pas assez intéressante pour que tu décides à y vivre pleinement. Tu espères que ceci changera à la suite de cette soirée. Tu espères notamment ne pas taquiner Lee à ta manière, car tu es consciente que l’alcool te donne des airs séducteurs et, en plus de te retirer toutes tes inhibitions, te donne des ailes de ce point de vue. Tu grimaces dans un sourire crispé, amusée à cette idée déroutante - c’est bizarre !

Ce côté bad girl enfoui tout au fond de ton être ne demande qu’à sortir quand tu es à ces côtés ; tu as ces pulsions que tu refoules depuis l’enfance, celles qui te demandaient de foutre des poings dans les gueules de certains qui le méritaient et qui étaient toujours réprimées par ta conscience et ta bonté, ta peur des représailles : chose que tu veux à tout prix modifier chez toi. Tu veux pouvoir te lâcher, et la seule chose dont tu n’as jamais vraiment eu peur de cette manière était les hommes. Car ils sont manipulables et tu aimes les mener en bateau - bien que tu n’assumes pas toujours, finalement. Tu espères, un jour, et peut-être grâce à Lee et aux autres E, pouvoir rendre les coups que l’on te donne. À cette idée, un frisson te parcourt le corps ; ce serait si libérateur pour toi, d’enfin être capable de te défendre, de ne plus réprimer ces pulsions, et pas seulement parce que ton copain se décide à te taper dessus, cette fois. Bien sûr, ces pulsions ne concernent pas que la violence, mais aussi la répartie et ces choses qui font de toi quelqu’un sur qui l’on ne marche pas, en soi. Cette répartie se perd dans le doute et la peur, et tu le regrettes à chaque fois. Les seules fois où tu laisses éclater ton feu, et où cela te fait du bien - malgré le fait que cela te fait plus de mal que de bien finalement - ce sont tes crises. Tu aimerais ne pas dépendre de celles-ci pour te libérer un peu - et pas totalement, pour éviter de faire cramer toute la Terre entière.

Tu te perds dans ton flux de pensées. Si bien que tu répondais à Lee sans vraiment t’en rendre compte, même si tu paraissais tout à fait naturelle - tu es faite pour faire deux choses à la fois, rêver et tenir une conversation. Le train arrive à son terminus et tu reprends peu à peu tes esprits, perturbée par l’agitation tout autour de toi, tu suis du regard les gens qui se précipitent vers la sortie tandis que toi, tu prends ton temps aux côtés de Lee.

cc


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Lee Zhong
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Mar 25 Mai - 23:18
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Dans le train, tes yeux sont seulement posés sur la rousse qui t'accompagnait, elle s'installait vers toi, tu t'étais tout de même décalé un peu pour lui laisser de la place, quitte à poser ta tête contre elle, tu t'en foutais. Tu l'écroutais en riant à sa référence à Game of Thrones, comprenant mieux le pouvoir de la tête de feu. Pendant que vous discutiez, tes yeux suivaient parfois les siens, se posant sur les types qui détournaient le regard. Ils voulaient essayer de faire quelque chose? S'il le fallait tu te lèverais, bien que tu n'avais aucun doute sur la capacité de ton amie à se défendre seule, c'est une fille forte qui n'a pas besoin de toi pour la protéger et tu appréciais cela.

Tu n'es pas son chien de garde.

C'est bien pour cela que tu aimes passer du temps avec elle, à l'emmener boire ou autre. Tu pouvais souffler lorsque tu étais avec elle. Tes émeraudes se posent sur son visage lorsqu'elle parle de ne pas se limiter s'il y avait de la bonne musique et des bons cocktails. Elle n'allait pas être déçue à l'Impact c'est très souvent le cas.

- Tant mieux alors, je préfère ça plutôt qu'emmener une fille coincée. Tu ris, étirant tes jambes en profitant pour dégager un type qui touchait à tes chaussures comme pour te dissuader de t'allonger où tu étais.

Vous papotiez encore un peu, elle rêvassait et tu étais sur ton portable à jouer à un jeu où tu dois rattraper Nate afin de faire des raids avec lui. Tu passais donc tout ton temps libre à level up, pour pouvoir l'aider, vous alliez passer un bon moment avec le blond. Mais ce soir, c'était avec Avery que tu allais passer du temps et cela allait être amusant. Peut-être que tu ne te souviendras plus de cette soirée mais c'était toujours signe que tu t'étais bien amusé alors cela ne te dérangeait jamais vraiment. Le train s'arrête, au terminus alors tu prends bien le temps de te redresser de tout ton longs avant de t'étirer en te dirigeant vers le quai en compagnie de ton amie. Au passage, tu donnes malencontreusement -ou pas- un coup d'épaule à un type qui vous avait fixé (et surtout Avery, dans les yeux du torse) tout le trajet avant de te retourner vers lui, ton air de sale gosse au visage alors que tu baisses un peu la tête pour l'observer alors qu'il râlait, une main venant se poser devant tes lèvres.

- Ohlalaaaa, je suis désolé~ Je ne t'avais pas vu, peut-être que si tu regardais plus haut que la poitrine de mon amie, tu m'aurais vu arriver~ On y va Av'?

Tu ris avant de regarder la rousse à tes côtés, reprenant ta marche en ignorant la personne que tu venais de remettre en place qui râlait, peut-être qu'il t'insultait mais tu te soucies de son bonheur comme de l'orgasme d'une libellule -donc absolument pas-. Tu marchais et, une fois sorti de la gare, tu viens te rallumer une cigarette, râlant du froid, du vent qui éteignait la flamme de ton briquet. Tu finis par réussir à l'allumer, tirant dessus pour évacuer le nuage de fumée par ton nez. Tes yeux se posent une fois de plus sur la tête rousse avant que tu n'attrapes ton bâton du cancer entre ton pouce et ton index, le tendant à ta compagne de soirée.

- Ah, quel mauvais gentleman je fais, tu veux une cigarette Av'? Je ne sais même pas si tu fumes ou pas... Attend... Putaiiiiin, tu dois pouvoir allumer les clopes hyper facilement avec ton doigt... Si je souffle sur une de tes flammes, une petite hein, elle s'éteint?





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Avery N. Jones
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Mer 26 Mai - 17:56

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mars • l’impact • lee

C’est en sortant du train que tu captes les mouvements de Lee, il vient tout juste de bousculer quelqu’un volontairement et, les sourcils froncés, tu observes la scène, étonnée. Quand tu entends Lee s’adresser à celui que tu reconnais bien vite, puisqu’il vous a fixé tout du long et tu as tenté de lui lancer une dizaine de regards meurtriers en vain, tu serres tes lippes pour retenir un rire.

Il a une telle facilité à se foutre de la gueule des gens, c’est incroyable. Et ça t’étonnes. Tu aimerais avoir le courage de faire comme lui, puisqu’au fond, tu réprimes ce genre de mots, encore une fois par ta peur des représailles. Mais après tout, tu as quelque chose de plus, une force qui te permet de t’imposer : ce pouvoir, ce n’est pas anodin si tu l’as. C’est pour te prouver que tu peux faire plus, que tu n’as pas à avoir peur. Bien que ce soit illégal aux yeux de l’académie d’utiliser ton pouvoir sur un civil, tu ne t’en priverais pas si le besoin se faisait sentir - la protection avant tout. Le temps que tu comprennes ça, il te faut faire des efforts sur tes appréhensions.

Une fois éloignés du râleur un peu trop pervers à ton goût, un rire t’échappes et tu baisses d’un ton pour ne pas que celui-ci t’entendes t’adresser à Lee :

T’es fouuuu… T’es un malaaaade… T’es génial putain.

Tu ris de plus belle, encore choquée de la scène - tu n’as pas l’habitude d’être protégée par autrui et, d’habitude, tu dois te contenter de ta solitude et faire avec ce genre de comportements. Parce qu’une femme est une proie même s’il suffit d’une étincelle pour la transformer Reine ; quand bien même tu tentes le tout pour le tout pour éviter les prédateurs dans ce genre-là, tu n’as toujours pas trouvé cette étincelle.

Quelque part, tu ne sais pas si Lee a agi par jalousie ou par bonté de cœur. Cela te perturbe au départ, mais celui-ci trouve très rapidement le moyen de te faire oublier son action précédente. Sa question te fait sourire mais, malgré tout, tu lui réponds sans cacher ta gêne...

Jeee- j’ai jamais vraiment fumé tu vois, j’ai crapoté des fois mais… On va dire que j’étais coincée à ce niveau justement, à cause de plein de trucs, mais je suis pas contre le fait de me décoincer - t’auras qu’à m’apprendre, tout à l’heure. Quand j’aurais bu un peu… tu t’arrêtes quelques secondes pour écouter la suite de ses dires, et tu souris de nouveau à l’écoute de son enthousiasme. C’est ma spécialité, je sais faire que ça alors j’en profite ahaha. Et non, je crois qu’elle ne s’éteint pas mais je t’avoue que j’ai jamais essayé. Bah… Attends, viens, lances-tu à Lee.

Tu le prends par le poignet et tu t’arrêtes au détour d’un carrefour, à l’entrée d’une ruelle ; tu t’y aventures avec lui pour te mettre à l’abri des regards indiscrets et, quand bien même ton coeur se met à battre un peu plus vite, tu ne perds pas ta priorité de vue.

Le dos tourné aux passants devant la ruelle, tu places ta main droite devant toi au niveau de ton torse et tu viens la soutenir avec ta main gauche, pour éviter de trembler lorsque tu te concentres - ça te déconcentre, et après tu te perds dans de nouvelles rêveries. Tu fixes le bout de ton pouce, que tu viens de relever droit comme un piquet, et une flamme de taille moyenne apparaît au bout.

Essaie si tu veux, lui tends-tu.

Toi aussi, tu te mets à souffler sur cette flammèche et, étonnamment, tant que tu ne relâches pas ta concentration, celle-ci continue de brûler. Alors vous soufflez comme deux gros cons et, finalement, lorsque ta concentration s’amenuise, celle-ci s’éteint. Vous riez avant de vous remettre en route.


***

Après quelques minutes de discussion et de marche, vous voilà finalement arrivés au bar tant convoité : l’Impact. Il est déjà dix-huit heures et tu te rends compte que le temps passe vite, et bientôt l’ambiance du bar sera plus propice à la fête, du moins, dans quelques heures. Mais vous ne comptez certainement pas attendre les bras croisés. Autant essayer d’en apprendre plus sur le brun, quitte à emballer ton cœur si influençable sentimentalement, parce qu’après tout tu t’es promis de ne plus jamais te renfermer ; ou d’essayer, du moins.

cc


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