Sun Wheel

Généralité :
La roue Solaire est une manifestation incontrôlée de son pouvoir. Éveillé, ce dernier atteint des températures extrêmes, matérialisant les flammes comme une deuxième volonté inconsciente de son utilisateur. Lateo possède un contrôle… Catastrophique de son feu. Il apprendrait rapidement à associer les arts martiaux et les mouvements, à ses cycles infernaux afin de minimiser l’impact sur l’environnement et ainsi contenir les flammes. Car les restreindre est bien tout ce qu’il peut faire. En bridant sa propre puissance, il parvint ainsi à éjecter des quantités infimes de sa puissance de feu.

Son absence de restriction le rendra également incapable de contrôler la direction des flammes qu'il est capable de créer. C'est un contact direct avec ses mains qui est nécessaire pour qu'il puisse projeter de manière certaine et mesurée sa puissance. Le mélange d'arts martiaux et de son feu le rendront donc terriblement dangereux, pour ceux qui sous-estime ses compétences de combat.

I - Points forts :
De par son incapacité à contenir son pouvoir, il ne générera ses dernières qu'à partir de ses mains, seuls membres habitués et usés par la colère des flammes de forge, et qui résistera aux variations émotionnelles de sa capacité. Créé du feu, peu importe sa taille, sa puissance ou sa structure demandera de l'oxygène. Il consumera l'air contenu dans ses propres poumons pour embraser le brasier qu'il créera.

Avec l'augmentation de la force du pouvoir, l'intensité et la température seront élevées, et davantage de dioxygène sera demandé. Contrôler sa respiration est donc primordial pour ne pas s'asphyxier. Contrairement aux apparences, même s'il est parfaitement à même de supporter de grandes divergence de températures, il n'en reste pas moins qu'il souffrira des changements trop importants.

Les flammes préexistantes, naturelles ou artificielles ne consumeront pas sa réserve d'air, mais celle environnante. Elles dépendront alors totalement de l'environnement pour leurs puissances et leurs structures. Capable de dévier, parer ou contrer ses dernières n'est pas un problème, aussi longtemps qu'il garde une certaine concentration et restreint ses propres émotions.

II - Points faibles :
Sa situation de conflit interne affecte directement sa capacité à se concentrer, garder un esprit clair et tranquille. Une manifestation involontaire de la roue Solaire conduira inévitablement à un emballement des flammes et à terme, à l'hypoxie. Le malaise est plus que fréquent. L'utilisation consciencieuse de ses capacités, au contraire, provoquera une "Surchauffe". Oxygène épuisé, le feu brûlera alors la peau, les tissues, les organes, dévorant comme une bête enragée le corps. Arrêter la progression est alors primordial.

Les séquelles peuvent être sévères, en plus des dommages collatéraux comme déshydratation, vertiges et fièvres. Des hémorragies internes pourront apparaître, avec les veines et les artères qui éclateront sous la pression sanguine. Le sang pourra se mettra à bouillir, auquel cas, il ne lui restera plus que quelques secondes à vivre.

Physique

Lateo, c’est un hybride excentrique. Un sang-mêlé interdit entre un hippie et un samouraï datant du Japon féodal. Perdu quelque part entre le je-m'en-foutisme complet et un altruisme délétère. Sa dégaine nonchalante d’un lendemain de soirée trop arrosé, lui conférait une démarche pendulaire et patibulaire. Cet étrange numéro d’équilibriste, avait transformé sa carrure de jeune paysan, en homme dont la haute stature n’était pourtant qu’illusoire. Ne mesurant pas plus d’un mètre soixante-dix, avec un poids plume d’une soixantaine de kilos seulement, il arborait encore cet air apporté par une jeunesse tranquille. Une force sans tempête, cachant pourtant, un redoutable orage.

Son assistance à la forge de son père aura laissé une marque indélébile. Ses mains révélant une peau durcie, ses bras taillés par la fureur du feu. L'anneau cuivré de Kayser-Fleischer stigmatiserait éternellement son œil droit, devenu inopérant et aveugle. Son visage cerné à la fois par la marque de ses efforts et de ses nuits, c’était dissimulé derrière des mèches folles de jais et d’onyx. Les soins apportés semblaient minimes, tel un écolier réveillé au saut du lit. Il arborait encore et toujours une face contractée par une grimace soucieuse.

Sous les coutures sobres et sombres de ses vêtements, ce cache un corps martelé par la force des activités agricoles et manuelles. Coupés avec finesses et efficacités, ses muscles se remémoreraient avec ferveur les séances de méditations et d'entraînements aux techniques Iaidô.

Mental

Couche-tard et lève tôt, Late comme il fut doucement surnommé, été l’incarnation de cette chanson familière dans votre enfance, avant qu’elle ne soit remixée par un DJ sous coke et avide d’argent. Il jouait à la fois le grand sage aux paroles incompréhensibles, aux proverbes sans queue ni tête, et l'adolescent au sang-chaud cherchant la bagarre à qui voulait bien répondre. Cela ne l'empêchera cependant pas d'arriver en retard à tous les cours ou de traîner les pieds avec ses sandalettes dans les couloirs. Il se perdra aussi régulièrement, confondant les classes et les horaires, sa tête ne comportant pas grand-chose si ce n'est des courants d'air. Cette absence d'intérêt social et éducationnel est partiellement due à son désintérêt total pour l'enseignement supérieur. Voie de garage pour échappé à une vie de labeur, il est, dans le jargon, un fainéant.

Bête méfiante par essence, la confiance ce mérite tout comme le respect. Il n'hésitera pas à verser du sang, pas plus qu'il ne se gênera pour prononcer une vérité. Honnête, et même trop, la franchise est un acte de bonne foi ou du moins, il le fait valoir comme tel. Il ne mâche pas ses mots et n'hésitera pas à répondre aux provocations lancées, si cela peut l'occuper un temps. Les malheureux qui auront l'honneur de le rencontrer durant de nouvelles lunes - lisez, lorsqu'il s'ennuie - auront la chance de le voir s'entraîner ou méditer, auquel cas le rejoindre vous attirera ses bonnes grâces.

Malgré son apparente agressivité et son absence de remords, il n'appréciait en fait pas, la violence gratuite dans le simple but de faire souffrir. Pour lui, combattre était un sport. La cruauté, comme le sadisme n'avait pas leur place dans les duels. Il ne connaissait ni la retenue, ni la clémence. Ce qui le conduira souvent à l'infirmerie. Un adversaire n'était pour lui, qu'un partenaire de jeu, peu importait qu'il soit venu pour tuer, blesser ou détruire l'école. Honneur, dignité ou loyauté n'étaient que des excuses pitoyables pour les faibles. Tout était bon pour gagner. S'il venait à perdre, il ne s'en prendrait qu'à lui-même pour ne pas avoir était assez fort. Tout comme il prendrait sa responsabilité si des dommages affectaient l'endroit où il se trouve.

Histoire

HISTOIRE ICI, NE BOUGE PAS LES DIV STP