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ღ we hear no voice when we pray at night - azraël hughes (terminée)
Azraël Hughes
Messages : 8
Date d'inscription : 30/03/2021
Azraël Hughes



ღ we hear no voice when we pray at night - azraël hughes (terminée) ♦
Mar 30 Mar - 22:33

Azraël Hughes

caught in the crossfire

Age :
26 ans

Classe :
B

Année :
14è

Spécialité(s) :
Maîtrise appliquée du pouvoir

Métier :
Stagiaire en enseignement (Maîtrise appliquée du pouvoir)

Nationalité :
Irlandaise

Orientation Sexuelle :
N/A



Souvenirs effacés

Le café est en train de couler; elle s'apprête à attraper les tasses. Sa main se tend; entre en collision avec la tienne; elle te sourit puis -
Le temps se fige. Ce qui constitue quelques secondes seulement apparait comme quelques minutes, quelques heures - une éternité.
Son sourire s'efface, et ses yeux se perdent dans le vide, dans le vague. Quand elle te regarde de nouveau, elle fronce les sourcils.
« Qui êtes-vous ? » La méfiance teinte sa voix alors que tu te crispes légèrement. Étrangement, tu ne t'attendais pas à te sentir perturbée, mais elle ne t'avait jamais parlé ainsi.
« La réparatrice. Votre lave-vaisselle était mal branché. Faites attention, la prochaine fois. »


Quand ta main frôle ou prend celle d'une autre personne; il te suffit de désirer ardemment que celle-ci oublie quelque chose ; il te suffit de penser, te concentrer, sur ce que tu veux qu'elle oublie, pour que ce souvenir s'efface de sa mémoire.
Quand ta main frôle celle d'une autre personne; ton monde perd de sa lumière sans même que tu ne le réalises;

Plus tu effaces de souvenirs, plus les murmures sont importants - plus les cauchemars s'imposent; et tes propres souvenirs deviennent beaucoup trop présents.

Enlever les souvenirs des autres, c'est fragiliser ton propre mental - ton sang-froid qui se fractionne pour laisser l'instabilité s'imposer quand la lune est haute dans le ciel. Quand tu acceptes de laisser les fondations s'effondrer quelques instants.
Enlever les souvenirs des autres, c'est te provoquer des violents maux de tête à chaque fois qui s'accompagnent souvent d'étourdissements et de vomissements. Définitivement, ce n'est pas une partie de plaisir.

« Papa ? Tu veux bien m'aider pour mon devoir ?
- Oui bien sûr. »


Sa main qui prend ton stylo pour griffonner quelques notes dans la marge et qui te pointe une phrase; ta propre main qui va pointer la même phrase et vos doigts qui se frôlent.
Et ta détermination qui s'infiltre, empoisonne - la douleur qui résonne dans ta tête, mais tu tiens bon. Tu es vaillante.
Il lui faut t'oublier. Avant que ta mère ne revienne de la cuisine.


Physique

Cheveux courts ღ Cheveux rouges ღ Yeux orangés tirant sur le rouge ; selon la luminosité ღ 1m60 ღ Mince ღ Athlétique ღ Très bonne forme physique ღ Cicatrices dans le dos / les bras (coupures/brûlures, notamment) ღ Deux cicatrices évidentes dans la paume de tes main et sur le dos de tes mains (les deux cicatrices sont alignées) ღ Peau assez pâle ღ Sourire figé ღ Dégage un certain "mystère" ; mais un certain "froid" aussi ღ Porte souvent des gants


Mental

Azraël; tu es insaisissable, d'un mystère qui t'entoure, qui te dessine, te caractérise - et ta voix presque angélique, charmeuse alors que tu enchaînes les excuses pour les absences répétées, les devoirs qui ne sont pas remis.

Et dans les extrêmes, tu te plonges; convaincue de la légitimité de ce que tu défends au péril de ta propre vie.
Parce qu'Azraël, tu es fidèle, loyale, aux principes que tu possèdes, d'une passion enflammée pour ce que tu portes tout près de ton coeur; pour le Seigneur que tu sers ici-bas.
Tu es cette personne que l'on entend jamais en classe; celle qui dessine ou écrit frénétiquement des notes - qui semble aussi studieuse que désorganisée (et pourtant totalement et entièrement maniaque de l'ordre)

Tu es cette personne qui parle dans le silence de ta chambre; et on ne sait pas ce qu'elle dit parce que tu murmures. Mais toi, tu sais à qui tu parles; et tu prêtes l'oreille, tu tends l'oreille pour entendre sa voix, son écho.
Seulement ce n'est jamais lui qui te répond; et la cause que tu soutiens est entachée par les murmures des démons, des âmes perdues à la solde de Satan; pour t'entraîner dans le péché, dans la déchéance - pour que tu le trahisses.

Et on ne peut pas dire que tu es douce, Azraël, on ne peut pas te qualifier d'empathie et encore moins de compatissante. Tu tirerais la gâchette sur tes propres parents si tu en avais la possibilité parce que leur âme souille la terre construite par le Seigneur.
Mais tu es sociale - on ne peut pas dire le contraire. Tu aimes bien discuter avec les autres, apprendre ce qu'ils veulent bien t'apprendre tout en gardant en tête toutes les erreurs qui peuvent être faites de leur part.
Tu as extrêmement bonne mémoire - et contrairement au Seigneur, tu ne pardonnes pas. Rancunière à l'excès, tu ne laisses rien couler, s'effacer.

Il est facile de te qualifier de méfiante - constamment sur tes gardes, sursautant au moindre bruit, souvent semblant attendre la trahison; comme si tous étaient pour te trahir.
Tu es intelligente, Azraël et tu apprends vite - si tes qualités ne se portent pas au niveau de ton empathie et de ton altruisme, elles plongent dans la stratégie et la capacité à analyser le monde qui t'entoure. Et il faut dire que tu es autant déterminée qu'ambitieuse, visant en permanence le sommet le plus haut que tu peux atteindre; aussi perfectionniste que minutieuse, toujours prête à relire à plusieurs reprises et recommencer indéfiniment ce que tu fais.

Tu es autoritaire. Clairement, tu sais comment te faire respecter et tu sais imposer ton aura dans une salle - ton regard froid dégage ce "on=ne-sait-quoi" qui a tendance à imposer le silence. Est-ce parce qu'on a cette certitude que tu pourrais plonger dans les extrêmes si quelque chose se déroule mal, si on ne t'écoute pas ? Mystère.
Et pourtant, Azraël, tu es d'un sang-froid incroyable - tu sais garder ton calme devant les situations les plus tendues, les plus intenses. C'est l'armée qui veut ça. On aurait pu s'attendre à ce que les traumatismes laissés soient plus apparents; mais ceux-ci s'imposent dans la nuit - quand tu es celle dehors, quand tu cours pour oublier, pour respirer; pour exister.

Tu es persévérante; il est très difficile de te faire abandonner, lâcher prise, quand tu as décidé de quelque chose. Vraiment, Azraël, on peut te dire têtue même.

Histoire

Tu étais au sommet
Alors que tu installais l'arme à feu sur une butte de terre pour la stabiliser et augmenter la précision de ton tir;
Alors que tu respirais calmement, doucement, convaincue de faire la bonne chose, d'être l'exécutrice des désirs du Seigneur;
Alors que ton oeil observait le monde au loin, que les bruits autour de toi semblaient presque effacés, inexistants; que ton doigt frôlait la gâchette, attendant le moment parfait pour tirer;
Tu étais au sommet

Tu ne comptais plus le nombre de vies volées, arrachées à la terre - le nombre de personnes que tu avais envoyé devant les portes du Paradis pour qu'ils subissent leur Jugement Dernier.

Tu avais dix-sept ans quand tu avais rejoint les forces armées américaines; quand tu avais rempli le formulaire, quand tu avais décidé de remplir ta mission sur terre : celle de punir ceux qui déviaient du chemin tout tracé pour eux. Le Seigneur pardonnait tous les enfants, mais toi; tu étais celle chargée de les envoyer se faire juger.
Entre Paradis et Enfer; tu étais convaincue qu'ils tombaient tous dans les flammes infernales, aux bras de la tentation et des péchés.

Tu avais dix-sept et quelques poussières quand tu avais trouvé ta voix; quand tu avais su avec certitude que tu étais l'ange de la mort; quand tu as su le prénom que tu te devais de porter. Azraël ; quand on t'avait mise à l'épreuve sur le champ de tir, quand tu eus à démontrer une capacité hors paire à réfléchir sous pression; rapidement. À faire confiance à ton instinct.
(Quand tu démontras tes capacités - quand tu appris à ne plus avoir peur; ou plutôt, à laisser les cauchemars dans la nuit te rappeler que ta frayeur et ton instinct de survie étaient seulement enfouis pour respirer sur le champ de tir) - tant et aussi longtemps que tu savais Lui obéir, tu pouvais continuer à vivre.

Mais tu étais beaucoup plus jeune quand tes propres capacités avaient semblé altérer;
Quand tu compris que tu étais spéciale - quand tu considéras avoir été bénie de Dieu afin de pouvoir remplir une mission différente de celles des autres âmes sur cette planète.
Tu avais douze ans quand tu as réalisé que tu étais différente ; quand d'un effleurement de la main et d'un désir si fort que cet enfant oublie ton existence parce qu'il t'insupportait amena à une réalité. Désorienté, il t'avait regardé; dépité, essayant de comprendre qui tu étais.
À ce moment-là, tu étais encore dans ta terre natale, celle où tu as grandi et vu le jour, ta douce Irlande.

Enfant convaincue du bien fondé des idées extrêmes qu'elle assumait haut et fort - enfant baignant dans un extrême dont le caractère puissant lui échappait; se soumettant uniquement à la volonté du Seigneur pour lequel elle priait tous les soirs.
Enfant ayant grandi entre sirènes de police et ambulance ; dans les bas quartiers, où les mauvais coups étaient signe d'une intégration réussie, d'une enfance vécue.  Enfant ayant grandi entre larmes et hurlements, entre hôpital et prison ; entendant les histoires de ceux désobéissant, les écoutant attentivement pour ne jamais laisser quiconque continuer à s’enfoncer ainsi. Enfant ayant observé les larmes de ceux sans toit au-dessus de leur tête, hurlements des ivrognes, et grognement quand la colère enclenchait des batailles ; entre alertes à la bombe et rivalité de gang – sans jamais s’en mêler, toujours de loin, enfant curieuse; enfant prudente.

Pourtant.
Première à s'élancer pour braver les interdits - parce que les lois de ce monde ne sont pas celles du Seigneur et que faire des graffitis lorsque la lune éclaire le ciel ne condamnait pas aux flammes de l'enfer. Laisser l’art conduire ses gestes quand elle ne s’asseyait pas sur un banc de l’école; trouvant refuge dans le vent frais de la nuit – où personne ne pouvait lui dicter qui elle se devait d’être, ce qu’elle devait dire; comment agir; sous les rayons bienveillants d’une lune lointaine; d’une lune amicale.
Enfant aux fréquentations aussi désintéressées des cours qu'elle; et pourtant qui n'avait jamais fait de mal - qui n'avait cherché la moindre relation. Petits méfaits peu importants - pas de vols, pas de meurtres - parce que l'armée ne comptait pas. Enfant qui avait été complice par le silence, mais jamais par les gestes; toujours en retrait; toujours sans sourire – enfant bien particulière qui n’essayait jamais de ressembler aux yeux, qui détonnait; qui était elle-même là où il fallait être quelqu’un d’autre; griffonnant en classe, excellant dans les sports quand c’était « une matière de garçon » ; enfant turbulente, enfant ignorante, enfant impossible à contenir à l’énergie bouillant dans les veines et une flamme ambitieuse dansante dans le regard. (On t’avait toujours dit que tu pourrais aller loin aussitôt que tu t’en donnais les moyens)
Le seul commandement que tu aies jamais enfreint fut celui d'honorer ses parents ; car ceux-ci damnés.

Et tu avais eu cette conviction que le Seigneur allait te pardonner; puisqu'honorer les démons ne pouvaient être autorisé.
(Et tu ne pouvais considérer les âmes volées comme de véritables vies - tu n'avais qu'exécuter les désirs de celui que tu servais en lui envoyant ceux à punir)

Éternellement, tu aurais une auréole invisible, rayonnant au-dessus de ta tête. Mais doucement, lentement, quand les frôlements de tes mains sur la peau d'autres personnes ne provoquaient plus que des souvenirs effacés, l'inévitable semblait se rapprocher : ton existence allait devoir se mettre en suspend pour que tu apprennes à te comprendre.
Repousser éternellement le moment fatidique – repousser le moment de quitter le champ de bataille, et les bruits;
Une fois – une seule fois, tu fus prise en embuscade, au milieu – devins une otage, une prisonnière; une fois – une seule fois, tu devins impuissante, ne pus appliquer la justice divine et ce fut là le moment le plus cruel de cette existence. Blessures s’accumulant – sauvée au bout d’une semaine et unique survivante (parce que toi, t’étais choisie par Lui pour continuer à exister; mais si tes lèvres et tes yeux affirmaient savoir pourquoi tu avais survécu; le cœur faiblit et les larmes coulent en silence quand la solitude arrive; unique survivante d’un groupe qui était presque une famille, à force) - là-bas, torturée pour donner l'emplacement de votre camp, pour donner l'emplacement de vos réserves d'armes; mais tu n'avais jamais faibli.

Pourtant.
Tu étais au sommet
- et la détermination brillait encore dans tes yeux ; toujours - brûlante, ardente, jamais ne s'éteignait dans ton regard qui ne craignait rien. Non, clairement, tu n'avais pas froid aux yeux. De multiples cicatrices marquant un corps habitué à la violence; d'un sang-froid qui ne s'effaçait pas et d'un athlétisme à ne plus prouver - peut-être que ta principale force était ta faiblesse; Azraël.
(Tu ne savais pas aimer véritablement; tu ne savais pas aimer autre personne d'autre que Lui) – et personne ne pouvait savoir où ça te mènerait un jour.

Tu avais vingt-trois ans
- lorsque tes pieds foulèrent pour la première fois le sol de l'académie et que ton regard se posa sur chaque personne. Ici, tu n'étais rien de plus qu'une élève - tu ne te démarquais pas du lot. Tu étais invisible; tu étais incomprise - tu étais seulement Azraël X.
Rien de plus. Rien de moins ; n'aidant aucunement à t'intégrer quand tu posais ton regard inquisiteur et calculateur, les dévisageant.
(Étaient-ils des alliés ou des ennemis ? La question flottait éternellement dans ton esprit - pour qui, un jour, aurais-tu à être de nouveau Sa main ?) – tu attendais toujours les retournements de situation, ne faisais confiance à personne; refusant toujours de travailler en équipe; tu étais cette élève toujours seule dans son coin, taciturne – celle qu’on évitait généralement, celle dont on ne connaissait presque même pas le timbre de la voix en classe.

Évoluant dans cet endroit; apprenant à maîtriser ce que tu considérais clairement comme un don - une capacité qui t'avait été donné pour Le servir; ce fameux pouvoir qui t’avait libéré de l’emprise de tes parents.  
Tu n’avais pas préparé d’espace bien à toi; pas de refuge – pas de « maison ». Ta chambre n'avait rien de personnalisé, Azraël, les murs demeuraient blancs et tout était rangé, tout avait une place - organisé peut-être même un peu trop; si bien que tu entendais les murmures "maniaques" derrière ton dos.. Mais tu n'en avais jamais rien eu à faire de ce que l'on pensait de toi.

On se demandait - parfois, on se demandait si tu avais de la famille. Tu ne parlais jamais d'eux (tu ne parlais jamais de toi); tu ne les mentionnais jamais - pour toi, ils n'existaient pas. Ta mère et ton père, ils étaient morts à tes yeux, et ce fait ne changerait jamais. Et puis, de toute façon, pour eux - tu n'existais véritablement plus.

Enfant convaincue du bien-fondé de ses idées, rejetant tous ceux qui lui affirment l'inverse, déshéritant son propre sang qui s'écartait de ce qu'elle considérait comme le bon chemin; tu avais abandonné tes parents, à quatorze ans, Azraël, pour rejoindre un oncle que le Seigneur rappela à lui quelques mois plus tard - te laissant dans un orphelinat.
Isolée, solitaire - ça te convenait entièrement. Tu ne t'étais jamais plainte, lisant, te documentant à ton rythme - délaissant les matières qui ne t'intéressaient pas et ignorant les autres enfants. Même aujourd’hui, il ne te viendrait pas à l’esprit de te plaindre de cette existence qui te convenait amplement. Personne ne t’attendait, personne n’espérait ton retour; et si jamais Il te rappelait à Lui; personne ne pleurerait.

Jamais tes parents n'avaient pu appeler la police pour ta disparition - car eux, eux, ils ne savaient plus que tu existais (de leur mémoire, tu t'étais effacée) ; de leur mémoire, plus aucun souvenir de ton existence. Tu préférais cela ainsi : te couper de tout lien avec eux. Ils étaient déchus, s’abandonnant à d’autres bras que ceux à qui ils s’étaient promis. Tu ne voulais rien savoir d’eux, de leur existence – de ce qu’ils faisaient, comment ils vivaient. Tu avais préféré finir de grandir aux côtés de ton oncle qui avait beaucoup plus d’honneur – avait perdu sa femme, n’avait jamais eu d’autres aventures, ne s’était jamais remarié. Ce fut lui qui t’apprit à procéder à un entraînement régulier pour te tenir en forme; lui qui t’apprit à tirer; puisque lui-même membre de la réserve – il habitait aux États-Unis, ton oncle, et tu avais aménagé là-bas.

Tu étais au sommet ;
Même lorsque tu errais dans les couloirs; ou te posais à la cafétéria en dessinant dans ton carnet – parce que tu étais une artiste, Azraël, une artiste qui apprenait à utiliser un pouvoir qui te semblait toujours terriblement utile. Pour autant, tu ne choisis pas l’art comme cursus ; quand tu entras dans cette académie à l’âge de vingt-trois ans, non. Tu le gardas en tant que pseudo-secret et loisir alors que tu t’investissais dans la maîtrise appliquée du pouvoir et la médecine – les deux spécialités que tu avais choisies. Les deux spécialités qui t’appelaient; elles semblaient te murmurer de les choisir. Alors tu l’avais fait.

Tu décrochais de bonnes notes; pas assez haute pour être en A, mais clairement; tu étais douée – surtout lorsqu’il s’agissait de tes spécialités – lorsqu’il s’agissait de ton pouvoir. Douée, silencieuse, calculatrice; il était difficile de te faire confiance alors que toi-même, tu observais le monde comme si celui-ci s’apprêtait à te planter un couteau dès que tu aurais le dos tourné.
Lorsque tu eus à choisir ton unique spécialité; la question ne se posa même pas, toi qui étais si appliquée dans le développement et la maîtrise de ton pouvoir; tu décidas de poursuivre dans ce domaine, délaissant la médecine sans toutefois oublier les cours qui avaient été entrepris. Tu décidas de t’investir dans cette matière à temps plein, corps et âme, pour développer encore plus tes capacités et tes connaissances même si la maîtrise des pouvoirs – leurs applications, leurs possibilités; comment vraiment puiser au fond de l’énergie vitale pour réussir à mener au maximum ce que vous possédiez.
Tu étais l’ange de la mort et tu souhaitais être la plus douée possible, la plus silencieuse, la plus rapide, la plus efficace possible.

Maintenant que tu étais en dernière année, tu avais même décidé d’être stagiaire. Stagiaire en enseignement; en maîtrise appliquée du pouvoir – et au vu de ton dévouement et de tes habiletés, on ne te refusa pas ce poste.
Tu étais au sommet, Azraël ;
Mais du sommet, on ne peut pas continuer à grimper, on peut seulement tomber, glisser, s’effondrer; alors sois prudente, Azraël;
Tes ailes pourraient se brûler, trop près du soleil et ton auréole s’assombrir.
Du sommet, on ne peut que tomber

DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo : Lys
Age : 20 ans
Si tu avais un pouvoir IRL, ça serait quoi ? Disparaître :meurs:
Comment nous as-tu connu ? Euuuh... par un membre qui est plus là
Tu fais quoi dans la vie ? Étudiante
Et deux heures avant, tu faisais quoi ? Je pleurais MDR
Ton animal préféré ? Rats (tous)
Ça te gonfle les questions ? Non

MOT DE PASSE :
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Nate S. Delaney
Idéal : Révolution
Messages : 197
Date d'inscription : 15/01/2021
Age : 22
Groupe : Classe D
Nate S. Delaney



ღ we hear no voice when we pray at night - azraël hughes (terminée) ♦
Mer 31 Mar - 14:59
COUCOU NITESH ♥♥♥


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Tu l'attendais ton DC hein ? Heureuse de la voir enfin parmi nous ♥

Validé !

Voilà ta couleur

Ça y est, tu es validé(e) ! Bravo à toi, nous te souhaitons la bienvenue parmi nous. cœur noir

Maintenant, tu peux aller recenser ton pouvoir, ton avatar, ta ou tes spécialité(s) et enfin ta chambre !

Ensuite, tu peux poster ta fiche de relations dans la partie concernée, ou alors jeter un œil à notre guide du débutant si tu en as besoin.

Le Super Staff  cœur noir
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