Matérialisation de l'art.

Mya peut matérialiser les desseins, peintures et même tatouages qu’elle touche ou qui ont contact avec sa peau. Les animaux ou créatures extraites ont une durée de vie limitée qui peut aller d’une minute à cinq minutes. Sous quoi ils reviennent dans leurs supports. La durée de vie de ses matérialisations dépendent de leurs tailles. Bien entendu elle ne pourra pas matérialiser un éléphant de taille normal. Tout dépend de la taille du support aussi. Si un éléphant sort d’un post-it il ne fera pas plus grand que le post-it.

Les contre coups, cela peut lui demander beaucoup d’énergie, ce qui peut expliquer qu’elle puisse entrer en état de fatigue ou tomber plus facilement malade ! De plus si elle matérialise un tatouage, le porteur du tatouage va souffrir comme si sa peau se déchirait, ce qui est la même si elle le fait sur elle même.

Physique

Mya est une demoiselle mesurant les 1m66, son poids est plutôt léger, elle n’est pas du genre à faire trop de sport. Etant plutôt artistique. Enfin… Sa chevelure est d’une couleur sombre, un noir profond, pour des cheveux mi long, quand on l’aperçoit, l’on pense souvent à une teinture alors que non pour le coup.

De base elle a les yeux couleurs noisette, pour un regard calme et serein, il est possible que son regard tourne au rouge quand elle utilise son pouvoir. Et si elle utilise son pouvoir, à part pour s’entraîner c’est pour ce défendre elle ou un ami. Il vaut mieux éviter cette situation !

Pour ce qui est de sa peau, elle possède des tatouages sur les avants bras, ils représentent des corbeaux, quatre à chaque bras, plus celui qu’elle a dans le dos. Mise à part cela elle en a aussi un à chaque jambe.

Mental

La confiance, elle en a très peu en elle même, mais cela ne l’a jamais empêchée d’avancer, car la demoiselle avait toujours été entourée ! Mya peut être fragile, son coeur n’est pas si dur que ça à briser. Ce n’est pas pour autant qu’elle a un coeur d’artichaut, loin de là. De ce qu’elle a connue de l’amour, elle n’a pas réussit à le retrouver, ce sentiment est pour elle un possible poison, ou pourrait tout aussi bien être un antidote. Tout dépend des situations que l’on peut s’imaginer ! Pour ce qui est de faire confiance, c’est pas évident, pourquoi ferait-elle confiance au premier venu ? Là c’est une chose qui se gagne !

La peur peut la gagner, il est possible qu’elle l’affronte. Mais c’est rare ! Hors sauf si ça peut aider quelqu’un qu’elle apprécie! C’est possible pour elle d’y faire abstraction ! Mya est une personne qui peut tout autant se mettre en danger pour ses amis et sa famille ! On peut la briser autant de fois que l’on veut, malgré les douleurs et sensations négatives qu’elle aura, elle se redressera ! Notre Mya est une fille qui a une bonne volonté et qui a aussi ce coté assez déterminé de vouloir progresser ! Ce qui est compliqué quand on a peu de confiance en soit.

N’ayant pas l’envie de déranger, on pourrait la trouver souvent seule, ce n’est pas son genre de couper les conversations, sauf en cas d’urgences. Enfin… Bien qu’elle puisse être polie et calme, on peut avoir par moment une réponse froide et sévère. Là dépend de l’approche des gens envers elle, par contre, il ne faut pas toucher à ses toiles sans son autorisation, sinon elle pète un câble ! Les critiques sont toutes aussi bien reçut, après tout, pour elle ça lui permettra d’avancer.

Histoire

Mya n’a pas grandit avec ses parents, ces derniers trop occupés avec l’entreprise familial. La demoiselle allait grandir avec son grand-père maternel. Ce dernier peintre avait décidé d’éduquer sa petite fille qui devint une source d’inspiration pour lui.

L’enfance de Mya fut des plus normal, la demoiselle allait à l’école, apprenait à peindre avec son grand-père, cela devint au fil des instants un loisir puis une passion ! Pour son grand-père lui c’était toute sa vie. Mais il n’avait jamais réussis à créer de véritables chef d’oeuvres à ses yeux. Mais pour Mya, il ne faisait que des œuvres d’arts qui l’inspirèrent et fit d’elle une enfant exemplaire.

A l’école primaire, l’on l’ignora, elle n’était pas une fille bavarde, plutôt calme et distante, les professeurs tentèrent de faire en sorte qu’elle s’adapte. Hors Mya ne voulait pas forcer les gens à lui parler, très maligne à son âge, très souriante malgré sa solitude. Mya ne ce fit que très peu d’amis en primaire, bien qu’au fil du temps elle était abandonnée par ces derniers. Pourquoi ? Les autres avaient des passions communes qu’elle n’avait pas. Son grand-père ne voulait pas la voir triste, il connaissait le sourire de façade de sa petite fille. Au point qu’il parvint à réunir ses parents et à les forcer à passer du temps avec Mya qu’ils ne connaissaient pas tant que ça au début. Durant un mois complet, ils la virent dans divers états et comprirent qu’ils devaient rester pour elle. La famille devint plus solidaire, Mya avait enfin de vrais parents avec elle, son grand-père c’était démené et elle le savait.

Au collège Mya rencontra de nouvelles têtes, elle ce mit à sortir aussi en douce pour traîner avec ses amis, mais… Elle n’eut pas les bonnes fréquentations. Mais sur le début, la jeune fille ne fit que s’amuser sans comprendre. Le temps passant , Mya commença à comprendre. Il eut suffit d’une bagarre entre deux groupes rivaux qu’elle stoppa les frais. Mya exprima son ressentit sur une toile, peignant un personnage en colère, suite à quoi, ses parents saisissant, ils prirent les dispositions nécessaire. Mya changea d’établissement, un établissement où tout allait mieux !

Durant les premier mois il fallait qu’elle s’intègre, cela ce fit facilement, ses parents l’avaient placée dans un établissement privé. Le règlement était un peu plus stricte, mais elle tenait. Bien que même si par moment sécher les cours voulaient lui venir en tête, Mya ne le fit pas. Dans cet établissement, elle allait rencontrer une personne qui allait lui être cher à ses yeux. Un surveillant. Ce dernier ce prénommait Fabien. A ce moment là, Mya n’avait que douze ans, durant les cours, il était un type sérieux, en dehors de l’établissement quand elle le croisa, c’était un guitariste d’un petit groupe et qui voulait aller loin. Mais elle ne pouvait pas assister au répétition, une gamine de son âge… Cela ne le ferait pas ! Elle se garda de lui dire ses sentiments, les gardant que pour elle.

Il est facile de briser un rêve, ce fut ce qui arriva à Mya, elle avait treize ans à ce moment là, c’était un jour pluvieux où elle avait reçut le message d’un ami, elle se rendit sur les lieux, un champ à l’abandon, son ami était déjà là, avançant avec son parapluie, Mya le salua simplement.

« Mya, Je sais que t’es amoureuse de Fabien.
-Que… Quoi ? Tu plaisantes ?
-Je le vois car tu as ce regard quand tu l’aperçois passer. Celui que j’ai pour toi.
-Attends… Là tu me fais flipper…
-Mya, je t’aime.
-…
-Je voudrais que tu sortes avec moi.
-Non… Je n’ai pas ses sentiments…
-Mya... »

Il se mit à rire légèrement, avec son téléphone le jeune garçon montra une scène à Mya, celle où Fabien et Quentin qui venait de dévoiler ses sentiments eurent comme discussion Mya. La vidéos montra à quelle point Fabien n’en avait que faire et qu’il la détestait profondément, qu’elle ne serait qu’une groupie parmi tant d’autres.

« Tu vois Mya ? Il n’est pas pour toi ! C’est un enfoiré.
-Tu ne vaux pas mieux à essayer de ramasser les miettes…
-Mya attends ! »

Mya allait s’éloigner, mais le jeune garçon lui attrapa le poignet, Cette dernière lui envoya une gifle pour qu’il la lâche, ce qu’il fit. Rentrant chez elle, elle fondit en larme dans sa chambre sans rien dire, ce mettant à peindre, elle peignit un corbeau enfermé dans une cage dans un décore sombre et triste. La jeune fille partit s’allonger, fermant les yeux. A son réveil, il devait être non loin l’heure du repas, elle s’y rendit sans un mot. Au retour dans sa chambre après avoir mangée, elle toucha sa toile et le corbeau en sortit, celui qu’elle venait de peindre. Ne comprenant pas ce qui se passa elle eut un léger cri, le corbeau retourna rapidement dans sa peinture. Mya pensa halluciner. Mais elle ne rêvait pas, ce fut quelques jours après en recevant une lettre qu’elle commença à comprendre qu’elle avait une différence !

Le style de peinture de la demoiselle était varié, sa signature était son prénom suivit d’un corbeau. Mya ne montra ses toiles qu’à ceux en qui elle pouvait avoir confiance, mais avec le temps elle c’était aussi remise de ses émotions, mais pas son ami Quentin toujours amoureux d’elle. Pour Mya cela devenait un peu gênant, mais il ne forçait pas, puis un jour, il sortit avec une fille pour ne plus penser à elle. Ce qui la rassura et l’inquiéta. Est ce que son ami allait avoir des sentiments pour celle qui sembla boucher le vide en elle ? C’était une question qui l’avait traversée !

Mya passa au lycée, là bas elle se retrouva seule, ses amis n’avaient pas choisis le même chemin qu’elle. Dans son établissement, Mya voulait devenir une artiste, mais elle n’allait pas en art. Sa première année allait être crucial, ne sachant pas vraiment où se diriger, ce fut en littérature que notre amie voulait tenter le coup, écrire un livre peut être ? Mais ce fut en milieux d’année qu’elle arrêta les cours, tombant gravement malade. En fait à force de vouloir exercer son pouvoir, elle en dépassa les limites et paya le fruit de son exagération. Ne reprenant pas les cours, elle ce laissa errer à chercher de l’inspiration, rencontrant divers sortes de personnes, il arriva un jour qu’elle dû se défendre d’un type un peu saoul qui voulait la draguer. S’affirmant quand il le fallait, Mya restait tout de même une fille assez fragile. Combien de fois avait-elle peur face à des garçons qui la draguèrent ? Bref. Ce faisant tatouer sur ses des bras des oiseaux noirs, avec le temps… Mya avait saisit le concepte de sa capacité, il fallait qu’elle touche une image, peinture et même tatouages pour les faire apparaître !

Et c’est à ses dix huit ans qu’elle partit pour Swish.