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submission •• P H O E B E
Phoebe L. Wood
Messages : 60
Date d'inscription : 05/02/2021
Age : 25
Groupe : Personnel
Phoebe L. Wood



submission •• P H O E B E ♦
Jeu 15 Juil - 19:28
Phoebe Lauren
Wood
FEAT. OC Rousse
24 ans

Contrôle Mental

Britannique
Hétérosexuelle

Professeure d’Anglais

Révolution

physique & mental

•• dans ta peau ••

Lorsque l’on ose prêter attention à ta silhouette, il y a des choses que l’on retient. Des choses simples, évidentes, que l’on utilise pour te décrire à d’autres.

D’abord, ta chevelure flamboyante, d’un roux étincelant, d’une douceur à n’en plus finir, ondulant longuement jusqu’à hauteur du dessous de ta poitrine.

Puis, tes prunelles noisettes, aux reflets sombres lors de tes journées les plus noires; ces deux revolvers aux munitions inépuisables, pouvant percer n’importe quelle âme si tel était ton vœu. Ce regard pourtant si malicieux, malin et sournois au premier abord, peut parfois paraître menaçant à souhait. Rares sont ceux qui perçoivent la passion, la compassion qui en émane. Il faut beaucoup de cœur pour prétendre remarquer cet amour, dissimulé au loin, dans les abysses de ton être.

Finalement, ce rire que tu as, si facile d’accès - un peu trop à la fois. Reconnaissable parmi des milliers d’autres, c’est ton signe de protection et ta marque d’affection. Ce rire est l’un des plus contagieux que le monde ait connu jusqu’ici. C’est aussi ce qui fait que personne n’y résiste; personne ne résiste à tes expressions, ta bonne humeur - ou soi-disant.

De longs cheveux roux suivis d’un regard provocateur et malicieux ainsi que d’un rire un peu trop présent, voilà la première impression que tu offres.

Tu mesures un mètre soixante-huit, ce qui, tu trouves, est un peu grand à ton goût. Fine, athlétique, aux courbes bien prononcées, tu n’as rien à envier à personne, et tu en es parfaitement consciente. Ta peau est blanche, pâle, une vraie peau de rousse, qui te trahit constamment lorsqu’il t’arrive d’être gênée. La poitrine que tu portes est généreuse; si généreuse, qu’elle te cause parfois des maux de dos insupportables. Tu es adepte de la mode et des nouveautés, toujours habillée dans un style sobre-élégant, quelquefois décontracté, quand ton humeur ne suit pas la cadence. Malgré ton jeune âge, tu ne peux t’empêcher de devoir sembler mûre et expérimentée. La confiance se lit dans ta démarche de reine, ainsi que ton air prétentieux. Tu imposes le respect par ta présence. Il est impossible, impensable de ne pas te remarquer lorsqu'on partage la même pièce que toi.

Tu possèdes un tatouage en forme d’ailes angéliques sur le derrière de ta cheville droite, et tu n’en parleras jamais.


•• à leurs yeux ••

Keep your head, keep your head up, be strong
Don't get emotional


T’es autoritaire. Incroyablement exigeante. Une vraie pimbêche prétentieuse et méprisante, qui donnerait sa vie pour obtenir ce qu’elle désire. Une sorte de complexe de supériorité ambulant, toujours à manipuler les autres par des stratagèmes sournois pour parvenir à tes fins. Sarcastique, ironique, toujours à prendre les autres de haut comme si tu valais bien mieux qu’eux; une reine, hautaine à souhait. Tu ris de tes subalternes du haut de tes remparts, ton trône, indiscernable et pourtant bien présent.

Ta confiance en toi pullule et se propage à des kilomètres, tout autour de ta silhouette. Un démon, une femme fourbe, une conspiratrice. Tu ne lâches rien, jamais, trop bornée pour imaginer que quelqu’un d’autre que toi pourrait dire vrai, conseiller quelque chose de correct. Tu as raison. Tu comptes. Tu sais. Rien de plus, rien de moins. Égoïste, égocentrique et têtue, voilà ce que tu es. Tu te complais dans ta hauteur; le fait que personne ne puisse t’atteindre, toi, tout là-haut, te rend fière - une fierté qui te perdra peut-être. Une hauteur, bâtie par des murs qui t’empêchent peut-être de vivre, de vivre vraiment.

Yeah, clear your head, get your poker face on
'Cause this is embarrassing
Push it down, you don't have to let the whole world know


Ton élégance et ton sérieux sautent aux yeux : ta manière de parler, les mots que tu emploies, ta démarche, et même tes expressions sont d’une finesse indéniable. L’illusion de la perfection dissimule même ta maladresse et ton côté colérique. Tu réussis toujours tout ce que tu entreprends, comme si l’échec t’était complètement inconnu à ce jour. Tu sembles royale. Tu n’es pas influençable, tu influences. Tu es la source, pas la rivière. La leadeuse, la tête de file, le cerveau, c’est toi, personne d’autre.

Tu sembles parfaite, de l’extérieur. Ton humour, ta maturité, ta sociabilité, ton ouverture d’esprit et ce caractère - fluide, spontané, marqué - que tu portes et arbores avec légèreté te scient à la perfection. La belle et amicale rousse, joueuse et fêtarde, qui ne demande qu’à s’amuser et réaliser quelques échanges de bons procédés dans le but d’obtenir toujours un peu plus d’adrénaline. On a beau connaître tes angles les plus désintéressés et manipulateurs, il est difficile de passer outre cette façade charmeuse, attirante. Tes sentiments semblent parfois flous, comme si tu n’en possédais pas, pas réellement. Tu n’as pas d’empathie, disent les plus jaloux. Car c’est ce que tu suscites, de la jalousie. Ton visage n’est que sourire, rire et douceur, doublés d’une attitude exécrable, en guise de paradoxe flagrant, envers ceux qui se disent présents ou remarquables. Tu fais couler leurs navires avant qu’ils ne puissent toucher le tien. Tu perdures intouchable.

Go ahead, drown your sorrows with some
Whiskey, that's how it's done
Talking 'bout all your problems is a waste of time


On n’est jamais assez bien pour toi, Phoebe.

•• dans le miroir ••

The only way I know
Only way I was ever shown
Was how to deal with this alone


T’as peur des autres, tu es malade. Cette maladie, c’est cette peur de céder le contrôle aux mains de quelqu’un qui n’est pas toi. Tu ne lâches pas ton emprise sur les autres, par peur qu’autrement ils puissent t’atteindre, te trahir ou t’abandonner dans une situation difficile. Alors tu établis des plans minutieux - grâce à ta facilité pour la manipulation, dont tu n’es vraiment pas fière - pour les empêcher de prendre les rennes, ne serait-ce qu’une fois. Tu ris, tu moques et tu rabaisses, pour être sûre de garder le contrôle. Ton masque, ce voile, c’est d’abord ça. Très bonne actrice, peu de personnes arrivent à le percer. On te voit, mais on ne te comprend pas, pas réellement. Tu es paranoïaque; tu te sens en danger face à autrui. C’est à force de te croire vulnérable que ton masque est apparu de son propre chef; tu l’as toi-même décelé avec difficulté, car il est si facile de se mentir à soi-même.

Tu essaies de penser avant tout à toi, à toi, et à toi; même si ton empathie reprend rapidement le dessus. Tu as appris à ne jamais lâcher l’affaire, à tout donner pour obtenir ce que tu veux, ce que tu penses être bon pour toi. Parce que personne d’autre que toi, Artesia, ton frère et Karna, n’est qualifié à te dire ce qui est bon pour toi-même, ce sont des rapaces, des fourbes, et tu n’es plus influençable. Tu t’élèves bien plus haut que leur influence. Une hauteur, bâtie par des murs qui t’empêchent peut-être de vivre, de vivre vraiment.

I let the waves crash down
And keep it all inside


Tu as passé ta vie à redoubler d’effort pour que personne ne puisse te marcher sur les pieds. Pour que personne ne puisse avoir l’avantage sur toi, pour que personne ne puisse te regarder de haut, te piétiner, t’utiliser, te manipuler. Alors tu fais en sorte d’être en première position. Toi, tu imposes tes idées. Il est plus simple d’être jalousée et haïe, que d’être aimée et protégée. C’est peine perdue pour la seconde alternative, et tu le sais. Tu n’as pas besoin d’aide, tu n’en veux pas, tu ne veux plus dépendre de quelqu’un d’autre que de toi-même, tu le refuses.

Tu aimes les autres, mais tu es malade. Tu ne peux t’empêcher de rire aux éclats et de dessiner sur le visage d’autrui un sourire similaire au tien, de contaminer les personnes alentour pour leur offrir un peu de paix. Paix que tu n’arrives pas à te donner à toi-même. Tu prétends que tout va bien; à contrecœur, puisque tu renies perpétuellement tes émotions les plus négatives. Tu ne pleures pas - du moins, pas en public. Tu ne t’effondres pas quand tout va mal, ton sourire forme une facette. Tes problèmes sont les tiens et doivent le rester, parce que c’est ça, la vie. Parce que tu ne dois pas être émotive, que cela te rend faible et qu’il te faut garder tout cela en toi, il te faut le gérer seule. Alors tu bois beaucoup, tu fêtes souvent et tu ries pour oublier - parce que c’est simple, et parce que tu as appris la vie ainsi. C’est le seul moment où la présence d’autres personnes ne te dérange que très peu, que tu te sens un peu plus en sécurité : perdre le contrôle t’offre d’autres perspectives. Tu n’es pas susceptible, mais te cacher derrière une blague lorsque tu te sens paraître vulnérable est ta façon d’opérer. Dès que quelqu’un te fait te sentir de nouveau en danger, ton masque reprend immédiatement le relais et s’occupe de les remettre à leur place. Tu n’as aucune pitié lorsqu’il s’agit de protéger ton mental, ton cocon intérieur.

You know me, that I won't
Tell you what's really going on
I gotta deal with this alone


En dehors de tout ça, tu es une femme douce ayant le cœur sur la main, protectrice, ouverte et qui peut s’avérer incroyablement drôle par moments. Ta maturité te donne des allures de jeune mère, tu inspires confiance et les plus incertains, les plus frêles se sentent en sécurité près de toi. De bonne compagnie, quelqu’un qui te connaît réellement ne pourrait énumérer ne serait-ce qu’un défaut à ton propos... si ce n’est ta maladresse, cette tendance colérique que tu as, à toujours t’agiter pour un rien, ton impulsivité, ton impatience, ton indécision, ta flemmardise et ton habitude à constamment procrastiner, ton hyperactivité, ta rancune morbide, ta curiosité maladive, ton côté boudeur, fier et le fait que tu n’aies jamais tort - soi-disant... Finalement, ça te fait beaucoup de défauts... Mais c’est aussi ce qui fait ton charme.

Tu avais pour habitude de te haïr. Avec les années, et surtout l’aide de ta meilleure amie, cette haine s’est dissipée. Mais ton masque est toujours intact, du moins, auprès des personnes qui ne font pas partie de ton cercle « familial ». Depuis l’attaque, tu es bien plus paranoïaque, et bien plus prudente qu’auparavant - le résultat est infernal. Tu as beaucoup plus confiance en toi, lorsque tu te trouves en bonne compagnie, et tu n’hésites plus à te battre s’il le faut.

Just let the weight on my shoulders
Keep on weighing me down
A little bit longer, I'm alright
Don't worry 'bout me
I'm doing fine

Don't let the weight on my shoulders
Keep on weighing me down
For one minute longer, I'm so tired
So can you help me?
I'm not doing fine

aptitudes

Ton pouvoir consiste à donner des ordres irrésistibles et absolus. Telle une reine aux pleins pouvoirs, tu règnes sur le libre arbitre. Un regard, une exécution. Tu peux tout demander, obtenir tout ce que tu demandes.

Il te faut plonger ton regard dans celui de ta cible, sans quoi tu n’es pas en mesure d’activer ton pouvoir. Les mots ne sont pas nécessaires, ils sont recommandés. Tu as deux façons d’utiliser ton aptitude.

La première, un ordre oral. Cet ordre est clair, précis et se réalise sans accroc, exactement de la façon dont tu l’as imaginé. La personne se retrouve soumise au moindre de tes caprices, et tu deviens maîtresse de sa propre volonté. Il est irrésistible et incontournable; à moins de fermer les yeux... C’est la seule forme d’ordre que tu peux t’infliger à toi-même, par le biais d’un miroir. Tu discernes deux types d’ordres oraux. Le premier type contient les ordres oraux immédiats, qui sont des ordres qui se doivent d’être réalisés dans l’instant, comme « donne-toi une gifle ». Ces ordres altèrent l’état de ta cible : celle-ci se trouve entre la conscience et l’inconscience, proche du sommeil et de la confusion, jusqu’à ce qu’elle réalise ton souhait. Le second type contient les ordres oraux à retardement, qui sont des ordres que tu donnes pour un moment donné, par exemple : « aujourd’hui, à dix-huit heures, fais-toi couler un bain ». Ta cible t’écoutes, se moque éventuellement de toi et continue son chemin, l’air de rien, t’affirmant qu’elle n’est pas à tes ordres. Arrivée à l’heure fatidique, cette personne n’aura pas d’autre choix que d’obéir à ton caprice. De la même manière qu’un ordre oral immédiat, elle se retrouvera soudainement soumise à cet état de conscience modifié dû à l’effet de ton pouvoir, et son corps agira contre son gré et selon ta volonté.

La seconde, un ordre mental. Ton regard suffit à tout dire, à contrôler quelques fonctions mineures de la personne visée. Ce n’est pas de la télépathie. Simplement un sentiment que tu lui renvoies, qu’elle ingère, ressent et comprend. Elle exécute ton souhait, dont la signification est renvoyée par tes prunelles inquisitrices plus qu’expressives. Si tu ressens désespérément l’envie que la personne en face de toi, qui ne cesse de te faire perdre ton temps, s’en aille promptement : tu peux le lui faire savoir en un regard, et celle-ci s’en ira dans l’instant. Cette méthode se rapproche plutôt de la persuasion, d’une forme de manipulation mentale subtile et sous-entendue. Une fois encore, cette méthode engendre une altération de conscience chez la victime, celle-ci étant néanmoins beaucoup plus légère et discrète que celle d’un ordre oral : une faible confusion. Un ordre mental ne peut pas être à retardement, il n’a qu’un type : l’immédiat. Ton allure autoritaire et imposante joue beaucoup dans cette situation. Tu es persuadée de pouvoir réaliser un tel exploit sans même devoir activer ce don qui est tien - mais ça reste à voir. Avec, la tâche est tout de même bien plus simple.

Que ce soit pour un ordre oral immédiat, à retardement ou un ordre mental, tes victimes subissent cet état de conscience altéré lors de l’application de tes consignes. Cet état leur confère, dans chaque cas, une impression d’incompréhension, de confusion, de fatigue : la même sensation que vous rencontrez quand vous avez fait nuit blanche et que l’on vous demande de faire un choix. Comme si vous ne saviez pas réellement ce que vous faisiez, trop perturbés par le stress ou la fatigue; ces moments où vous agissez sans réfléchir. Vous vous êtes sûrement déjà retrouvés dans une pièce en oubliant la raison pour laquelle vous vous y étiez rendus, et bien, c’est le même principe. Parfois, tes victimes oublient et ne font pas le lien entre leur action et tes mots, mais d’autres fois, ils comprennent et viennent régler leurs comptes.

L’effet durera, en général, le temps de la réalisation de l’ordre en question. Tant qu’il n’est pas mis en œuvre, pour ce qui est d’un ordre immédiat ou mental, le concerné n’est pas en mesure d’agir autrement que selon ta volonté. Il n’est pas possible de dissiper l’effet d’un ordre oral, à moins de tomber inconscient ou d’être incapable de bouger et d’agir durant une période de vingt-quatre heures, à l’issue de laquelle l’effet se dissipera de lui-même. Pour ce qui est des ordres oraux à retardement, l’effet se dissipe au bout de vingt-quatre heures à compter du début de la réalisation de l’acte. Tu peux difficilement affecter les personnes sous certaines substances illicites et dangereuses, tout dépend de l’impact de ces substances sur ta cible. De plus, certains médicaments altèrent la réceptivité d’autrui. Tu utilises rarement ton don sur des personnes vulnérables physiquement, celles-ci pouvant potentiellement être mises en danger par tes actes.

Ayant perfectionné la maîtrise de ton pouvoir, tu peux contrôler plusieurs personnes à la fois. Tu peux donner plusieurs ordres à la fois et à la même personne. Tu n’as pas de limite de personnes à contrôler à la fois, ou tu ne la connais pas : il te suffit de prendre un mégaphone pour que toute une foule t'obéisse.

Toutefois, plus le nombre d’ordres à la fois est important, et plus tu contrôles de personnes à la fois, plus tu deviens vulnérable. Contrôler autrui revient à te surcharger mentalement. Quelques contrôles sont bénins, tu restes inchangée, imperturbable; si ce n’est par la sensation d’avoir oublié quelque chose. Plus d’une dizaine, et cela se complique : tu bégayes et mélanges tes mots, oublies des choses, perds une partie de ta concentration et tu commences à divaguer, à ne plus pouvoir penser correctement par toi-même. Au-delà d’une cinquantaine, tu te sens comme oppressée mentalement, tes pensées perdent leur fluidité et leur cohérence, elles s’entremêlent, ta concentration passe au point mort et tu n’arrives plus à prononcer une phrase sensée, il t’arrive même de perdre connaissance, de subir une crise de tétanie, te forçant à libérer tes cibles de ton emprise. Une véritable anarchie se dessine dans ton mental, dont les traits sont représentés par chaque pensée décousue que tu possèdes et que tu t’efforces de prendre en main, en vain. Tu n’es plus maîtresse de rien, ni de ton propre corps, ni des autres. Il te faut donc rester prudente et ne pas céder aux pulsions que peuvent engendrer un tel pouvoir. Si tu en abuses, et ce trop souvent, tu pourrais te retrouver dans un coma, et qui sait, peut-être même abîmer ta santé mentale avec toute cette charge mentale.

histoire

Née à Londres, tu as vécu auprès de ton frère, Ayden. Tu l’as accompagné lors de sa découverte surnaturelle lors de ses seize ans ; la télékinésie. À vrai dire, tu l’accompagnais partout. Il avait ce gang, les WHITE, formé initialement de son groupe d’amis, qui s’est transformé en gang de trafic de drogues, d’armes en tout genre et bien d’autres. Au début, c’était ta famille ; l’ambiance y était bonne, tu étais protégée au vu de ton très jeune âge - mais que veux-tu, tes parents avaient bien trop confiance en Ayden pour te surveiller visiblement. Tout allait pour le mieux.

Une balade en voiture tourna malheureusement bien plus mal que le reste de votre petite vie tranquille. Les pouvoirs d’Ayden, qui avait refusé une admission à une académie spéciale dont il gardait le secret, se sont détraqués et un accident eut lieu. Par chance, tout allait bien pour toi et tes parents, malgré quelques séquelles et une voiture déchiquetée. Ayden lui, disparut sans laisser de trace.

Tu as vécu deux ans sans lui. N’ayant plus aucun repère si ce n’était les WHITE, tu as continué de passer ton temps avec. Le départ de ton frère a engendré une modification de la hiérarchie du gang, et un nouveau prit la place de chef. Depuis, les activités changèrent radicalement. Du trafic de drogues et d’armes l’on passa aux échanges de service, à la prositution et autres dégénérations. Toi, tu étais utilisée comme appât pour les clients et l’on te força à t’habiller de vêtements bien trop ouverts. On se servait de toi, littéralement. Et un jour, tu as subi une tentative de viol, durant laquelle ton pouvoir s’est manifesté. Tu as planté un couteau dans la jambe de ton agresseur, ce qui t’a valu d’être poursuivie par le gang et leurs folies - ils tentaient de te tuer. Durant une semaine, tu as fui autant que possible, tu survivais à peine en dérobant des gâteaux dans des supermarchés et en buvant l’eau des rivières - tu ne voulais surtout pas appeler la police ou rentrer chez toi, par peur d’attirer le gang vers tes parents, tu savais pertinemment le résultat.

Alors, quand la police t’a finalement retrouvée, tu as accepté de les suivre malgré quelques réticences. Ils ont accepté de protéger ta famille lorsque tu leur as tout raconté, et une lettre t’attendait à la maison. Tu as déménagé pour l’académie le soir même, à quatorze ans.

Présentant une facilité à user de ton don, tu as rapidement monté les échelons, pour finalement terminer apprentie professeur de maîtrise du pouvoir. Tu y as rencontré ta meilleure amie, avec qui tu vis actuellement dans un appartement en centre-ville, ainsi que celui qui détient ton cœur, Karna, et bien d’autres. À l’académie se trouvait également ton frère, Ayden, porté disparu et que tu croyais mort depuis ces deux années. Tu as tenté de l’éviter durant toute ta scolarité et cela a plus ou moins fonctionné - tu n’osais pas venir le voir pour lui raconter tes deux ans au service des WHITE.

Le jour de l’attaque, tu t’es retrouvée face à un détenteur ennemi. Celui-ci avait vraisemblablement le pouvoir d’hydrokinésie. Ce jour-là, tu étais accompagnée de Karna, mais le détenteur t’avait prise pour cible. Il a créé une bulle d’eau tout autour de toi, tentant de te noyer au plus vite - Karna, de son côté, a tout tenté pour te sauver et s’est retrouvé à terre, meurtri par un autre détenteur. Aucune trace d’Artesia, tu te sentais partir. C’est alors qu’Ayden, ton frère, apparut pour te sortir de cette infamie. C’est là que tu as découvert que son pouvoir s’était drastiquement amélioré. Il était capable de démembrer autrui par la pensée, de les envoyer valser sur des kilomètres et de te sortir de cette bulle avec un simple regard. Il t’a sauvé la vie et vous vous êtes enfuis auprès de Karna, après avoir retrouvé Artesia et son petit-ami, Ayden - ironiquement.

Depuis, cela fait deux ans que tu suis Artesia. L’attaque t’a fait comprendre que tu pourrais tout perdre en peu de temps, alors tu décides de ne plus perdre ton temps. Depuis quelques semaines, ta relation avec Karna grandit et vous tissez quelques liens plutôt intimes, mais tu lui en veux toujours pour le fait de t’avoir caché qu’il faisait également partie des WHITE il y a de ça quelques années. Tu vis l’osmose avec ton frère, aujourd’hui bras-droit d’Andrew Carter et médecin, ainsi que trafiquant de drogues - on ne perd pas les bonnes habitudes. Tu es devenue professeure d’anglais dans le lycée de Moosbell, et tu effectues plusieurs séances de maîtrise du pouvoir au QG de la Révolution, dans le but de former les nouvelles recrues ou d’aider les détenteurs à parfaire leurs dons, pour prévenir d’une éventuelle attaque, qu’elle soit alliée ou ennemie.

Ally
Mademoiselle Wood est dans la place
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Karna S. Crowley
Messages : 89
Date d'inscription : 13/01/2021
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Karna S. Crowley



submission •• P H O E B E ♦
Sam 17 Juil - 20:55
Phoebe cœur violet

validé !

voilà ta couleur
Bravo à toi, tu es validé ! Tu peux désormais courir recenser ton avatar et ton pouvoir.

Une fois ceci fait, si le cœur t'en dit, tu peux aller demander un RP et poster ta fiche de relation. Bon courage ♥
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