— RP LIBRE. Vous répondez quand vous voulez, autant de fois que vous le voulez tant que vous gardez une logique dans l'enchaînement de vos posts (pas plusieurs à l'affilée) et que vous MENTIONNEZ les personnes avec lesquelles vous interagissez par le biais des @Prénom. Merci !
— Vous ne dépasserez pas les 200-250 mots, sinon je vous retire des swishes, et si vous le faites quand même vous mettez un résumé (et vous perdez 100 swishes). (on est 24, soyez compréhensifs MDR).
— Règles IRP : AVENGERS, ASSEMBLE ! (Pur octogone, pas de règles)
(il est possible de rejoindre le RP avant la fin du premier tour, vous avez donc 6 mois j'imagine)
RP
Un vendredi soir, vers vingt-deux heures, je récoltais les commandes de la majorité des étudiants ici présents - aussi bien mineurs que majeurs, en faisant bien attention à ne pas me tromper dans les cocktails alcoolisés et non-alcoolisés. Je devais parfois me méfier de certains filous qui tentaient de passer entre les mailles du filet, c’est pourquoi je demandais systématiquement une carte d’identité au moment de passer commande. Le bar était plein à craquer ce soir-là, et pour cause : les premiers examens n’allaient pas tarder à voir le bout de leur nez. Les jeunes avaient besoin de décompresser un peu ; chose qu’ils savaient faire à la perfection.
Mais ce soir, quelques tensions planaient dans l’air et ce depuis quelques heures déjà. Un groupe d’élèves classés A riait plus ou moins silencieusement d’un groupe d’élèves classés E à l’autre bout du bar - bien que le bar de la maison des pensionnaires ne soit pas très grand. Un cercle, en plein milieu de la MDP, une multitude de verres et de choses cassables : une cible parfaite en cas de bataille générale. Je ne connaissais que trop bien les problèmes de cohésion entre ces deux classes et je pris l’initiative de retirer le capuchon sur le bouton d’urgence sous la caisse du bar - destiné à créer une barrière protectrice sur la totalité des parois du bar et contre les murs de la maison des pensionnaires, par précaution. Un mot plus haut que l’autre, et le pensionnat entier serait prêt à prendre feu, ce bouton n’était pas là par hasard ; je remerciais intérieurement les personnes qui avaient pensé à installer un tel dispositif. Les détenteurs de pouvoirs étaient beaucoup plus sanguins que des humains lambdas, sûrement à cause de l’impression de puissance - elle pouvait rendre fou. Je les écoutais marmonner discrètement, et c’est là qu’un E se leva en lançant une insulte en direction du groupe adverse. J’avais bien fait d’ériger la barrière.
L’un des fauteurs de trouble se leva à son tour, un A, et s’approcha de celui qui venait d’insulter son groupe d’amis. Les deux se trouvaient désormais en face à face et le E se contenta de bousculer du bout des doigts le buste du brassard violet, qui répliqua par un crochet du droit.
Tu étais au bar avec des amis à boire un verre tranquillement, tu n'avais pas cherché la bagarre tu étais là pour t'amuser. C'est donc avec ta pinte de bière vide en main que tu éclates de rire à une blague nulle mais pour une fois que tu ne cherches pas la bagarre, absolument pas silencieux.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Et ton calme est fini tout de suite. Une phrase entendue, un petit "pour qui ils se prennent ces enfoirés de E? Ils devraient réviser plutôt que de s'amuser ils ne seraient pas aussi con." dite bien fort pour qe vous l'entendiez.
Tu te lèves donc, silencieux comme un mort, la anse de ta pinte en main en souriant du haut de tes 1m93. Il n'allait pas laisser passer ça.
" Tu as un problème, petit con? "
Nash t'avait dit de ne pas faire de vague alors tu pousses simplement le petit A du bout des doigts pour qu'il dégage. Mais... La douleur se fait sentir ta joue... Il t'a mit une droite? A toi? Tu vois rouge et, gardant ta pinte en main, tu viens l'écraser directement dans sa face de violet, la brisant sur le coup.
" Tu vas regretter ton geste, connard "
Les mots de Nash se sont envolés depuis un petit temps et ton pied s'écrase sur le genou du A, venant lui cracher dessus, lâchant les reste du verre brisé à-côté.
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Nate S. Delaney
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Mar 20 Avr - 21:41
ft. everyone
C.H.A.O.S
Pour se faire pardonner de ses récentes absences, Nate a décidé d’accompagner Lee à une soirée au bar du pensionnat. C’est pourquoi il est là ce soir, aux côtés de ton meilleur ami et d’autres personnes ; à boire un chocolat chaud. L’alcool, c’est bien parfois, mais il reste très difficile à ce niveau-là et préfère généralement craquer pour le plus de sucre et de douceur possible, tel un enfant.
L’ambiance chute brusquement lorsqu’un groupe de A se décide à réaliser la chose la plus stupide au monde : énerver Lee. Si bien que celui-ci se lève dans un calme surprenant. Étonné, plutôt fier de lui, Nate observe la scène en silence, décidant de faire confiance à son serpent favori. C’est lorsqu’un poing s’écrase contre sa joue que Nate se lève d’un bond, sans un bruit. Le rouge lui monte aux joues, ses sourcils se froncent et il se jette sur la table avant de la traverser en marchant, il n’a pas le temps de faire le tour. Il n’est jamais violent, jamais inquisiteur, jamais rien. Mais là, c’en était trop.
Il se joint à Lee, poings serrés. Alors que Lee lui donne la plus grande dérouillée de sa vie, Nate ne lui crie pas d’arrêter et ce, pour la toute première fois. À la place, il vient écraser son tibia dans le ventre du A en question. C’est la toute première fois que Nate frappe quelqu’un – il grimace de douleur, surpris par la force de son coup.
C’est le bruit de mon foutu téléphone. Sûrement encore une de ces notifications à la con, dire que je dormais paisiblement. Mais à ma grande surprise, c’est un message de Maxouille. Du coup je lis attentivement et je lui réponds un : —Ok, attends-moi. J’ARRIVE TOUT DE SUITE.
Elle est en danger la pauvre, j’peux pas l’abandonner. Alors, pris par le temps, j’enfile mes super chaussons et je vais chercher quelques armes que j’ai créées il y a quelques années. J’sors de ma chambre en pyjama, pas le temps de me préparer, Max a besoin de moi.
Je marche le plus vite possible, c’est-à-dire 5 kilomètres par heure, c’est bon, me jugez pas j’fais pas de sport moi. Du coup, je dévale les escaliers à la vitesse d’une mamie avec un déambulateur et avec beaucoup d’efforts, j’arrive complétement essoufflé au bar du pensionnat. Bordel, il a toujours été aussi loin ce machin, j’en peux plus.
Sans prêter attention au décor, je m’enfonce dans le bar avant de me recevoir un liquide en pleine face.
—Wow fait attention où tu vises l’ami.
Il m’a mis en rogne celui-là, il a mouillé mon super pyjama. Mais bon, j’avais pas le temps de m’attarder sur un dégénéré. Je commence un peu à paniquer, j’n’arrive pas à voir Max dans le tas. J’n’ai pas d’autre choix que de crier.
— Maaaaaax !!!! Tu es où ?
En même temps de gueuler, j’équipe mon gant de Thanos, j’suis prêt à claquer des doigts.
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Mer 21 Avr - 0:24
C.H.A.O.S
gros bordel
Vendredi soir, attablée au bar de la MDP, ma troisième pinte de bière fraiche à la main. Je rigole avec les copains, sortant de jolies bulles à l'odeur alcoolisées et sentant mes joues chauffer. Ca fait du bien de pouvoir décompresser à la fin de la semaine, surtout quand tu as séché la moitié des cours pour courir un peu partout. Fatiguant tout ça. Pleine de confiance en moi, je sors mon ultime blague du moment.
Qu’est-ce qu’un yaourt dans la forêt ? Un yaourt nature.
Gros blanc. Toute la tablée se retourne, avec des regards assassins, sur un petit gars de la classe A. Je crois que personne n'a entendu ma blague. Lee se lève, il est plus rouge qu'un anglais qui rentre de vacances. Et là le petit A le cogne. Et il renvoit le coup. De la bogarre? Chouette!
Pas mal! Montre-lui ce qu'on a dans le ventre chez les E!
Je ne remarque pas tout de suite que Nate est monté sur la table pour la traverser à grands pas, mais quand je vois son pied shooter dans ma pinte, mon sourire disparait. Oh no. La colère monte, je me lève d'un bond et saute sur Nate, comme un petit singe en fureur.
MA PINTE SALE RENARD! T'as pas honte de jouer au foot avec? Je vais te doja$pzj$*ajdr!
Trop de bulles sortent en même temps de ma bouche, inondant les personnes aux alentours.
Hadès prenait du bon temps. Pas ce genre de bon temps. Pas encore, du moins. Il attrapait son troisième verre de vodka pure, pour se l'enfiler calmement, seul. Il n'était dans aucun groupe, aucune bande. Trop de monde. Le monde, c'était clairement les embrouilles, lui qui aimait chercher les autres. Il aurait pu rejoindre Lee à sa table, mais une flemme grandissante de trainer avec des gens ce soir. Puis, au fond, il voulait juste tirer son coup. Il n'avait pas honte de l'avouer, il attendait son date de la nuit pour filer. Cependant, les voix montèrent, les verres se brisèrent et les petits enfants sautaient sur des tables en faisant des cris d'animaux. Hadès haussa un sourcil, assez étonné sans l'être, de la vitesse à laquelle la maternelle s'affolait d'un rien. Un long soupire parcourut ses lèvres avant que sa vision ne soit brouillée par des... bulles ? École de cinglés arriérés. Tous des monstres inoffensifs, en plus de cela. Hadès avait maintenant la flemme d'attendre son date, et finit son verre pour le poser et se lever en direction de la sortie.
"Le premier qui me touche, je lui décroche la tête pour m'en servir de décoration murale."
Mains dans les poches, il faut dire qu'avec son mètre quatre-ving dix-huit, on ne voudrait pas sûrement ne pas le faire chier. Mais la route était longue, jusqu'à la sortie...
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Mer 21 Avr - 10:58
c h a o s
Bleu. Ses yeux se perdent dans ce ciel qui était censé refléter une bonne journée. Ça devait être une bonne journée.
Il a assisté à ses cours, il a profité du beau temps et il a voulu aller jusqu’à terminer sa journée en beauté en allant au bar. C’est parfait.
Ça devait être parfait. Oh au début rien de spéciale.
Orange. Ses yeux se perdent dans cette boisson qu’il a commandé, l’envie de simplement profiter de la bonne humeur ambiante se fait ressentir, même si au final le ton commence à monter.
Ah. Il reconnait cette voix. Il tourne la tête, et là il constate : en effet il connait cette voix. C’est Lee.
Il lui avait pourtant dit de « ne pas faire de vague » (dans la mesure du possible)
Et pourtant, il constate, ça s’engueule face à d’autre, des A visiblement.
A partir de là, tout s’enchaine.
Soupire. Pas le choix, Nash se lève, se dirige rapidement vers la scène qui dégénère, allant même jusqu’à bousculer quelqu’un : mais pas le temps pour les excuses car là ça va vraiment trop loin.
Il arrive enfin jusqu’à Lee et Nate : car oui, depuis, le blondinet l’a rejoint.
Se place à côté de Lee, pose une main sur son épaule :
« Bon ils ont fait quoi cette fois ? » Sourire presque forcé.
Et maintenant qu’il est là, il voit bien que ça va pas s’arranger.
Tu te retrouves probablement là pour passer du bon temps et penser -ne serait-ce que quelques heures- à autre chose que tes machines. Manque de chance, une guerre civile s’était déclenchée non loin de ton petit minois. Malgré les quelques visages que tu crois reconnaître, tu comprends rapidement que la situation ne s’atténuera pas le moins du monde. La sortie se trouvant à l’opposé de ta position, tu te sens prise au piège au milieu de cette violente altercation. Il te faut trouver une solution.
Cachée sous ta table depuis les premiers coups, une idée te vient alors.
Tu avais pris ce pli de contacter ton ami dès que quelque chose n’allait pas. C’est donc de tes mains tremblantes que tu parviens tout de même à envoyer quelques messages de détresse à Killian.
Ayant une volonté de fuir bien plus grande que celle de se battre, tu termines par sortir de ton terrier après avoir reconnu la voix de ton ami.
KILLIAN, JE SUIS L-
Un coup de coude de E vient malencontreusement se perdre en plein milieu de ton visage. Certes, c’était pas fait exprès, mais ça faisait un mal de chien. Puis, étant donné la fragilité de ton nez, il se met rapidement à saigner. Tu le pinces alors tandis que tu sens quelques larmiches monter.
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Esther Lesath
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Mer 21 Avr - 17:25
C.H.A.O.S Insérer un sous-titre badass
F E A T Everyone ░ 242 Mots
Elle termine sa dernière touche de maquillage quand les furies débarquent dans sa chambre. La soirée commence et c’est l'extase. Elles boivent tout l’alcool qu’elles ont amenés et mu par la soif, elles décident de poursuivre la soirée au bar. C’est le feu, il y a plein de gens et Esther, malgré le brouillard dans sa tête repère des visages qu’elle connait. Elle les gratifiera d’un grand sourire quand et si leurs regards se croisent. Et si elle n’est pas trop torchée quand ça arrive.
Elles s’installent dans un coin et commande une première vague de shots quand des cris attirent l’attention de la tablée. Une bagarre ? Vraiment ? Elle tend le cou pour voir ce qu’il se passe, le nuage dans son esprit se dissipe, cette touffe blonde et ce grand dadet aux cheveux noirs, elle les connait non ? En d’autres circonstances, elle se serait marrée en buvant dans son coin, mais pas là. Elle abandonne ses copines - elles sauraient se débrouiller seules - pour aller calmer les deux autres, s’ils continuent à s’acharner sur le mec au sol, ils vont avoir des problèmes. Elle s’interpose entre le A et ses … à présent trois opposants.
- C’est bon stop, quoique ce bouffon ait fait, il a son compte.
Elle tend les bras pour repousser Lee, Nate et le troisième trublion quand une furie aux cheveux roses, enragée vu ce qui sort de sa bouche, saute sur Nate.
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Liones Callahan
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Mer 21 Avr - 17:34
La débandade, le désordre, le grand chambardement, un bazar sans nom, une perturbation immense dans la force. Liones avait d'abord observé silencieuse, la paille de son thé glacé entre les lèvres. Elle relève un sourcil aux provocations de ses pairs mais elle n'a guère le temps d'intervenir avant une réponse trop expéditive à son goût. Et de là tout s'enchaîne à une vitesse phénoménale. Stellaire. Avec son calme habituel, elle pose son verre et se redresse en arrangeant sa jupe avant de s'avancer. Elle se couvre précautionneusement de son manteau de vide, pénètre la cohue comme elle le peut. Quelques coups s'arrêtent et flotte dans l'espace fractionné alors qu'elle relève doucement les bras, haussant quelque peu la voix pour essayer de se faire entendre.
"S'il vous plaît, ce n'est pas l'endroit pour cela. Nous ne somme pas des chiffonniers."
Un regard de travers aux auteurs des provocations. Sans grand étonnement, ses paroles ne semblent avoir beaucoup d'effet. Elle reconnaît dans la foule quelques têtes. Celle de Nash de la classe E qui semble passablement énervé. Et aux alentours, elle cherche un peu de soutient consciente qu'échauffés comme ils le sont, aucun de ces rustres toutes classes confondu ne s'arrêterait aisément. Alors pour le moment, elle est juste plantée là, elle se protège en tentant tout de même de s'interposer là où les tensions sont le plus palpables.
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Avery N. Jones
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Mer 21 Avr - 18:34
ft. everyone
C.H.A.O.S
T’as passé une nuit atroce hier, et t’as tout simplement plus envie de dormir. Alors quand Lee et le gang ont commencé à parler de « soirée », ton sang n’a fait qu’un tour. C’est pourquoi tu es là, attablée avec Lee et d’autres gens dont tu ne connais pas le nom. Tu es une habituée des soirées qui dérapent – quand on fait partie des E, il faut être prêt à tout. Dont au fait de casser des mâchoires, et plus particulièrement celles des A à l’autre bout de la pièce. Mais Lee s’en occupe pour toi ; tu ne pensais pas qu’il était possible d’être plus sanguin que toi.
Mais il est celui qui se prend le premier coup, tu paniques. Tes iris prennent une couleur flamboyante alors que tu te lèves d’un bond, le cœur terrorisé. Tu te dépêches de rejoindre le petit groupe qui se crée au milieu de la pièce pour y mettre ton grain de sel – tu touches à Lee, tu touches à Avery. La nervosité te pousse à mettre le feu à quelques pantalons du groupe d’en face, et finalement à celui de Hadès. Ce n’est pas ta faute, la remarque qu’il a fait t’a tout simplement énervée, et ton pouvoir fonctionne selon tes émotions. Par chance, un autre pyrokinésiste se trouve dans le groupe de A.
— FAITES GAFFE ! Il balance du feu ! dis-tu en pointant du doigt l’élève en question.
allongé sur l'un des canapés à l'abri des regards, Selji regarde distraitement son appareil -d'abord en retrait c'est lui bruit qui l'interpelle mais lorsque son dos se relève, elle voit Lee et Nate frapper un type, et puis d'autres gens s'enrager comme des animaux, ce qui s'avère être un spectacle des plus fascinants alors tout sourire, elle s'avance appareil photo en main et s'apprête à tirer quelques clichés jusqu'à sentir une pression sur son oreille -puis une bousculade de la part d'un camarade qu'elle connait trop bien ça fait déjà quelque temps que ça dure les brimades quant à son handicap et sa différence, alors Selji râle et s'échauffe et c'est son poing qui vient violemment cogner dans la joue du garçon qui s'écrase au pied de Lee
Je fais des photos ! Connard !
la voix criarde et l'air agacé, elle s'approche d'Avery et la bouscule pour qu'elle la regarde enfin, n'entendant qu'à moitié les conversations de ses camarades et certainement les insultes à son encontre de la part de ses camarades en A
Je TROUve pAS Mon APPareil ! AiDE MOi !
Selji s'oblige à parler fort comme si c'était Avery la sourde -alors qu'actuellement, c'était plutôt elle et sa main s'accroche à la sienne lorsque son regard revient sur celui du A qui semble difficilement râler avec la joue enflée et la lèvre balafrée Selji elle ne s'est jamais vraiment sentie intégrée dans sa classe et aujourd'hui, ça se ressent plus que d'habitude
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Orion Karr
C.H.A.O.S ♦
Jeu 22 Avr - 2:22
C.H.A.O.S
w/les agents du chaos. Bar 10PM
Tu étais avec ton super poto Massrur à relire tes cours sur les bryozoaire, tu adores ta spécialité. Tes yeux vairons étaient fixés sur ta feuille avec une écriture déplorable mais tu te comprenais c'était déjà ça. Elias vous avait lâcher pour aller dormir plus tôt, quel imbécile. Tu étais donc seul avec le "Rorqual bleu" comme tu aimais l'appeler. En même temps, tu sirotais un verre de diabolo grenadine qui n'avait plus de bulles depuis le temps que tu l'avais commandé. Mais c'est pas grave, il est hypra super bon tout de même!!
Alors que tu étais plongé dans le fonctionnement du lophophore, une altercation est audible, même avec ta mauvaise vision, tu arrives à distinguer la source du bruit. Ooooooh! Une bagarre entre les E et des A malpolis? Vite vite, apportez le pop-corn!
- Rorquaaaaaaaaaaal, regarde il y a une baga... OUUUUUUUUUUUH
Maximilia était là... Et elle venait de se prendre un coup?! Ta pauvre petite crevette, elle semble vouloir rejoindre un de ses amis mais tu as bien en tête la personne qui a fait cela, elle ne pourra pas t'échapper demain~ Dans tout les cas, tu t'approches d'un type de ta taille qui a le pantalon en feu. Tu attrapes alors ton verre avant de lui renverser dessus avec ta tête de sale gosse.
Il était tard et Liam s’ennuyait, alors il avait décidé de sortir courir un peu. Ça lui faisait toujours du bien et au moins, ça l’occupait et lui évitait de foutre le bordel pour rien dans sa chambre. Il se sentait libre quand il courrait. Par contre, ça donnait soif et après une rapide douche dans sa chambre, il avait décidé de boire un verre au bar, pour une fois.
Arrivé là-bas, il commanda quelque chose de simple et commença à boire tranquillement quand il put entendre ce qui ressemblait à une dispute démarrer. Il prit le temps de finir son verre avant de se tourner vers la chaos qui semblait s’être installé. Il aurait très bien pu s’en aller, ne se sentant pas vraiment concerné, mais il repéra Nate dans le groupe qui commençait à grandir.
Il était hors de question de laisser un ami se battre seul et encore moins Nate, qu’il voyait un peu comme un grand frère. Alors, posant son verre vide, le jeune homme se débatti pour rejoindre le blond et une fois arrivé, se prépara à se battre avec lui.
Massrur avait été traîné par Elio à la MDP, il n'aimait pas trop cet endroit à cause de sa proximité avec le bar et il faisait tout pour en être coupé, nottament en étudiant avec des écouteurs qui dictait un cours en vitesse accélérée.
Sentant son ami partir après avoir cru l'entendre crier, il leva la tête en enlevant un écouteur pour voir le spectacle qu'il avait jusqu'à lors évité. En à peine quelques secondes, tout avait dégénérés : les gens se battaient, les chaises volaient, les vêtements s'enflammaient et… des bulles?
*Voilà pourquoi je suis contre l'alcool…*
Il faillit poursuivre le grand dadet aux yeux vairons mais se ravisa avant d'avoir fait le moindre pas.
*Se jeter là-dedans est le meilleur moyen de se prendre une balle perdue et si Ithnan se ramène... les dégâts qu'il fera seront démesurément supérieurs à ceux que je peux espérer éviter.*
Il alla s'adosser contre le mur adjacent à la porte d'entrée, loin de la mêlée, pour réfléchir à comment il pourrait être utile.
*Vu le nombre, je peux oublier la synchronisation...*
Il augmenta la mélatonine du plus de gens possibles, se concentrant sur les individus les plus violents. Néanmoins, vu qu'il n'était pas synchronisé à la plupart d'entre eux, l'impact fut aléatoire: Certains baillaient à peine, la plupart avaient du mal à garder les yeux ouverts, d'autres, enfin, tombait instantanément dans un profond sommeil.
ally for arty
Messages : 2
Date d'inscription : 10/04/2021
Eliott Rousseau
C.H.A.O.S ♦
Jeu 22 Avr - 23:14
Eliott & La bogor
C.H.A.O.S
Il n'y a point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat
Eliott trainait avec un groupe de A de sa classe et un peu plus âgé. Il les écoutait vaguement, peu intéressé en réalité. Il avait accepté de les rejoindre pour ne pas trop avoir l’air renfermé. Il savait que le social faisait beaucoup dans la vie, même si ça le saoulait un peu. Il aurait préféré se faire une soirée en tête à tête avec un cahier de maths ou un livre à la limite.
Enfin, son attention se reporta rapidement sur le groupe quand l’un des leurs se leva, allant mettre une patate à un géant qu’il ne connaissait pas. Un E, de ce qu’il avait compris. Et évidemment, tout dérapa très vite. Il avait envie de s’esquiver et les abandonner à leurs bêtises -ils devraient valoir mieux que ça, normalement.
Sauf que, faisant partie du groupe d’emmerdeur, il se retrouva bien rapidement au centre du problème. Un long soupire lui échappa avant qu’il n’active son pouvoir, laissant l’électricité courir le long de son corps. Si quelqu’un voulait se frotter à lui, il s’y piquerait. Et si on le cherchait vraiment, il montrerait clairement qu’il n’appartenait pas à la classe A pour rien.
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C.H.A.O.S ♦
Ven 23 Avr - 9:55
Regarde je luis de paillettes et me réduis au KO
TOUT LE MONDE
Solveig, cheveux gras et pull trop grand, buvait une bière en compagnie d’un camarade de classe. Un type pas si grand, mais qui lui avait promis ses notes de cours à la fin de la soirée. Elle n’en demandait pas tant, même si son indic avait des paroles un poil intolérantes. Entourée de gens qu’elle ne connaissait pas bien, elle voulait juste ces notes.
Mais déjà, la situation dégénérait. Son A avait lancé une pique, un abruti avait répliqué, et soudainement, une gifle avait volée. Who. Un coup dans le genoux, et un gars qui marchait littéralement sur la table pour lui péter la gueule plus tard, et c’était la débandade. Solveig tendit une main vers son camarade de classe, désespérée.
- Non ! J’ai besoin de lui putain !
Mais elle était écartée par les deux cancres de service. Solveig se lèva quand quelqu’un s’approcha d’elle, croyant certainement qu’elle partageait ses idéaux, elle attrapa sa tong, prête à sévir. Mais la femme en question essaya de séparer les trois gars, et ne tenta pas de geste dans sa direction. Pas bête, Solveig se coula à ses côtés, la tong entre les dents, essayant de tirer son A vers les coulisses.
- Elle a raichon, moi j’approuche en tout chas.
Elle chercha quand même sa sacoche du regard. Accrochée à son propriétaire, Solveig cria victoire, il devait bien y avoir ce qu’elle cherchait dedans, non ?
Tiens tiens tiens ~ je me demande bien d'où vient un tel vacarme haha !
Suis-je bête, je sais pertinemment que ça vient du bar et j'en ai bien la confirmation quand je vois une baston générale à peine entré.
Attends...
Tout se fait en une fraction de seconde, je vois ma vie défiler... mon avenir était tracé depuis le début... je dois devenir journaliste !
Ni vu ni connu, j'enfile ma plus belle paire de lunettes de soleil que j'avais planqué à l'intérieur de mon manteau et ça y est... je suis fin prêt à filmer !
Hmmm... parfait !
Posté dans un coin du bar qui semble safe pour le moment, armé de mon beau smartphone, je lance l'enregistrement que je nommerai plus tard : [+18] Une bagarre incontrôlable éclate dans un bar !
Salut à tous mes p'tits potes à la compote ! Aujourd'hui c'est peeeeeeeeeeetite bagarre ! Comme vous pouvez le voir, c'est vraiment le zbeul ! Il y a même des gens qui prennent feu ! D'ailleurs...
Pointant du doigt ceux qui prennent feu, je fais surgir de l'eau en leur direction pour éteindre quelques-uns avant de reprendre mon show.
Bahaha ils se sont pissés dessus les cons !
Gros zoom sur leurs pantalons, la vidéo est parfaite.
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C.H.A.O.S ♦
Sam 24 Avr - 0:11
FEAT. MOI et les AUTRES
Carnage...
Tu sirotais ton cocktail à travers la plus grande des délicatesses faisant ignorance de la cohue ambiante... Isolée sur ta table en coin du bar, tu ne daignais même pas apporter plus d'attention à la bagarre qui s'était généralisée... Des bulles, du feu, de l'eau, des insultes, tu pouvais même apercevoir du coin de l’œil quelques étincelles prompt à foudroyer un quelconque malheureux...
- Quel enfer !
Pas le temps de niaiser pour toi. Tu devais réviser et même l'enfer sur terre n'aurait pu te sortir la tête de tes cahiers... Tu voulais prendre du bon temps, et tu te contentais naturellement de mettre de la musique dans tes écouteurs pour masquer le brouhaha tonitruant.
Un monde de fou. Mais un monde qui t'était paisible.
La plupart des gens censés n'allaient certainement pas te chercher des noises... Quant aux fous et aux éméchés... Alors tu serais contrainte de sortir de tes envies studieuses pour venir régler tes comptes. Une Belladone payait toujours ses dettes ! Parfois...
Quant à ceux qui voulaient trouver refuge, se mettre à ta table était encore un des choix les plus judicieux avec celui de foncer vers la sortie. Ironiquement, tu étais du genre à rester calme dans le chaos et à péter un câble dans les moments s'y prêtant le moins.
- C'est comme si j'avais pris la mer ♫
Tu chantonnais avec ce qui passait dans tes oreilles, les yeux portés sur ton manuel.
Un bar dans un pensionnat, dans un campus mixte, a posteriori la fausse bonne idée de l'année. C'était pas le genre d'endroit où Dorian avait l'habitude de traîner. Il était seul et profitait sagement d'une soirée solo pour boire puis faire quelques croquis de l'ambiance du bar. Enfin, quelle ambiance de merde mise à part, ça partait d'une bonne intention. Ça s'échauffait dans le coin. Une querelle entre E et A. Dorian n'en avait rien à foutre. Il voulut juste se lever pour aller aux toilettes et ce fut ainsi qu'il se ramassa un lourdaud, puis des bulles dans la tronche et autres fioritures pour bien le déstabiliser. Dorian, c'était le dommage collatéral par excellence, qu'on prenait pour un A puis un E puis un Y ou W voire X. La victime qui est trop là au mauvais endroit au mauvais moment. Il chute jusqu'à la table paisible de cette nana bien calée qui faisait chier personne, et à qui fallait sûrement pas faire chier en retour. Il s'échoue comme une baltringue et renverse le cocktail pour bien rendre les choses un peu plus pathétiques.
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